Dean avait de grands projets ces temps-ci. Il avait abandonné l'idée de fréquenter ou d'être avec des gens qu'ils connaissaient déjà. Trop d'histoire. Cela faisait quelques mois qu'il était revenu fidèle à lui-même tout en pensant à la belle Sharlay timide. Ils prenaient leur temps. Puis, il avait acheté une maison et fait des rénovations. Il avait à présent un bureau dans une veranda remplis de plantes. Il sous-louait son appartement à une amie et le second éventuellement à Sharlay. Ils avaient ainsi l'occasion de se voir d'avantage et de s'apprivoiser. Il avait renoué avec sa soeur et avec son frère, quoique celui-ci lui en voulait encore d'avoir caché son cancer et de l'avoir annoncé que lorsqu'il était en rémission. Au travail, il n'avait toujours pas de coéquipier ou de coéquipière, mais ça allait plutôt bien. Il avait repris du poil de la bête, des muscles et son entraînement régulier. Il avait même recommencé à sortir.

Ce soir, Dean commençait à 20 heure. Il faisait le service de nuit. Il avait avec lui un thé, car il ne supportait pas le café. Il avait avec lui son thermos et ses sachets de thé. Il devait être à l’accueil jusqu'à minuit et remplis des dossiers et effectuer leur tenu. Dean trouvait cela plutôt plate, mais au deux semaines, il se passait le relais pour faire une nuit et parfois plus. Bien qu'il soit plus dans les plus jeunes, il pouvait avoir le loisir de ne pas trop faire de nuit, justement. À minuit, il devait aller patrouiller. Dean avait eu à faire quelques arrestation et demander à des collègues d'embarquer des gens.

Il était à présent 4:00 am du matin. Dean avait hâte que son chiffre se termine. Il terminait à 5:00 am. Sa pause remontait à minuit, justement, lorsqu'un collègue avait pris le relais. Dean était patient, là à écouter la radio de l'équipe et les discussion des collègues. Rien d'intéressant. C'est alors qu'il se fit interrompre dans ses pensées, par une personne qui roulait en fou, enfin assez vite sur Broadway à cette heure-ci. Dean ainsi, se dépêcha d'enclencher le contact et les gyrophares. Il se dirigea vers la voiture en question. Il pouvait voir que c'était une jeune femme. Il en déduisit que c'était la sortie des bars. En effet, Dean connaissait bien cette heure. Il avait même arrêté quelques personnes à 3:00 am C'était une de plus... La voiture se gara rapidement. Parfait, pas d'histoire pensa Dean. Il se gara derrière et sortit du véhicule, les gyrophares toujours en marche. Il s'arrêta et se positionna à côté du véhicule. La femme descendit sa vite. Il s'adressa à elle.

Dean Ross, vos papiers de véhicule et permis mademoiselle. Il espérait ainsi qu'elle ne souhaite pas un svp en plus de cela. Il semblait sérieux.

Dean n'appréciait pas tellement les gens qui faisaient de l'excès vitesse. Il ne comprenait pas tellement en fait ce genre de comportements. Peut-être était-ce parce qu'il était policier. Il avait beau faire plein de bêtises dans la vie, il était très prudent et perfectionniste sur la route. Enfin, tout le monde avec des défauts. Il s'était adressé à la jeune femme et elle lui avait balancé qu'il n'avait pas de manière. Il arqua les sourcils. M'dames, je vous dirais bien s.v.p, mais c'est pas comme si vous aviez le choix de ne pas me les donnez, je vous intercepte pour excès de vitesse. Il laissa sa phrase en suspend. Il lui sourit, histoire de faire de l'humour, il dit:Et linguistiquement, sil-vous-plaît n'aurait pas été approprié à la situation. Il ria. Bah oui, il avait beau être dans l'exercice de ses fonctions et un peu sévère, il était capable capable d'humour. En plus, peut-être collaborait-elle. Bien qu'il souhaitait resté sérieux.
Elle s'exécuta et lui donna les papiers. Il lui dit. Merci. Il commença à les regarder.

Finalement, elle lui dit, sur un ton désobligeant, qu'elle était en règle d'après ses papiers qu'il pouvait bien voir qu'il n'avait pas de raisons pour le lui demander. Dean ainsi lui dit: C'est une procédure de base à toutes interceptions, soupçons ou arrestations. Vous ne me direz pas quoi faire, non? bien que je conçoive que ça soi frustrant et ennuyeux......mais en effet, vous êtes en règle, pas de quoi en faire une histoire. Il essayait d'être aimable tout en étant sérieux et de lui faire comprendre. Il lui redonna ses papiers.

Elle répondit certes à son téléphone lorsqu'il sonna. Il était suspect en tant que policier. Elle n'avait pas le droit de répondre. Elle était en infraction. Elle était au volant et le contact était démarré. Il se racla la gorge. Il attendit qu'elle raccroche. Mademoiselle, vous ne pouvez pas répondre au téléphone au volant, même si vous n'êtes pas en marche, l'automobile est démarré et le contact y est toujours. Il ne s'en officialisa pas toutefois. Il lui fit savoir en n'inscrivant rien au dossier.

Il rajouta:
Si j'étais vous je ne serais pas aussi arrogante et nonchalante sans vouloir vous offensez. avec les policiers, croyez-moi, je connais le staff à New-York et l’attitude des policiers en général et ce n'est pas une chose que nous apprécions.

Il marqua une pause, attendant sa réponse. Je dois toutefois vous demandez d'où arriviez-vous, pourquoi rouliez-vous si vite et si vous avez bu S.V.P. Il insista sur ces derniers mots, comme il était 4:00 am et dû à leur échange à propos de la politesse. De toute façon, il aurait à vérifier si elle avait bu avec l'alcootest.

Peu de gens respectaient les limites de vitesse. Dean ne comprenait toujours pas pourquoi. Avoir un accident parce qu'on était pressé ne justifiait pas d'avoir des comportements irresponsable et à risque pour soi et les autres. Enfin, il y avait de multitudes de raisons, mais ça ne vaut pas la peine d'en faire le détails ici.
La demoiselle lui avait répondu qu'effectivement, qu'elle n'avait pas le choix, comme quoi, il la menotterait. À cette image, Dean se fit des images en tête. Bien que ce n'était pas son genre de pratique. La demoiselle était plutôt mignonne et bien habillée. Elle disait que les policiers pouvaient faire tout ce qu'ils voulaient. Dean était septique. Les gens avait de fausses croyances à l'égard des policiers. Dean ne s'en offusquait plus et ne s'en officialisa pas. Dean lui répondit alors:

Umm vous avez de fortes opinions mademoielle, Hopkins, se remémora-t-il grâce aux papiers. Il haussa les sourcils, un peu exaspéré. Finalement, elle joua la carte de la naïve concernant la vitesse. Il hocha la tête de gauche à droit et dit: Ne me prenez pas pour un idiot, je vous en pris, ça nous fera sauver du temps. Dean n'aimait pas qu'on se moque de lui et il devait être pris au sérieux. C'était son travail. Elle se mit par la suite à rire extrêmement.  Dean avait un doute. Elle devait avoir bu pas qu'un peu. Du moins, au moins au-dessus de la limite permise. Par la suite, elle se mit à jouer le scénario de la fille qui le coordonne et qui pourrait le contrôler. Elle avait de la répartie. Dean fronça les sourcils. Elle n'était pas peureuse d'oser, avec un policier, autant que cela. Peut-être pourrait-il oser la draguer... Elle osait même le regarder droit dans les yeux. C'était intense. Cette fille lui plaisait bien, finalement. Dean n'avait pas eu le temps de répondre et puis il regardait les papiers. Elle répondit au téléphone jusqu'au moment où, Dean, entre autre, lui fit remarquer que c'était inadéquat sur la route. Elle se joua de lui et lui dit nonchalamment qu'elle l'avait éteint, up, c'était pas un drame. Dean soupira. Il avait un air désapprobateur. Finalement, lorsqu'il lui parla de devoir vérifier son taux d'alcoolimie, elle lui sortie une plaisanterie très désadaptée: " J'étais , euuuuh , ah oui l'anniversaire de ma grand mère. Elle étais si heureuse de voir sa petite fille, comme je l'aime. Avoir bu ? Non jamais ma grand mère ne supporte pas l'alcool, elle ne m'autoriserait jamais ! ".

Dean souria, jaune. Il lui dit alors à moitié, surpris et exaspéré. Ça y est! Dit-il haut et fort de sorte à surprendre n'importe qui.

Vous devriez faire du théâtre mademoiselle ou avoir fait dans la police, vous êtes arrogante et vous essayer de vous jouer de moi. Votre grand-mère doit se retourner dans sa tombe ou avoir les oreilles qui sillent. Je vous signales que moi aussi j'ai été jeune et que je sors en boîte. Il marqua une pause. Il laissa sous-entendre qu'il savait ce qu'elle faisait.

Il s'appuya en s'abaissant tout près de la vitre.


On sait vous et moi pertinemment que vous avez bu et que je pourrais marquer ça à votre dossier. On sait également que vous aller tout tenter pour vous défiler. On sait également que si je vous drague parce que vous êtes mignonne et que vous me plaisé bien avec ce caractère que vous me déployer vous aller accepter mes avances et faire semblant d'embarquer dans mon jeu. L'envie ne me manque pas pour essayer de vous charmer, mais je ne voudrais point profiter de la situation pour vous draguer, je vous saurais pas sincère.
Il se racla la gorge quelque peu.

Je vous propose donc de vous raccompagner chez vous, à condition que je puisse compter sur votre bonne foi pour ne plus faire d'excès de vitesse et ne plus consommer d'alcool ou dépasser la limite permise si vous conduisez. Il haussa les épaules et rajouta: Comme ça, je ne marquerai rien au dossier, ni vue, ni connu. Il souria.

C'était une arrestation assez farfelue, en effet. Dean était également assez flexible, en ce moment. Il allait certainement, lui laissé une chance. Cela faisait longtemps qu'il n'avait pas flanché pour une femme. Bien que ce soit une personne sous les effets de l'alcool et qui ne respectait pas non seulement le civisme et ses propres principes rigoureux, à Dean, il allait certainement laissé passer, couler et lui prêter main forte. Il n'avait pas le goût d'être autoritaire et de négocier ou de faire entendre raison à quelqu'un, qui n'était pas sobre. Il avait plutôt envie d'être cordial et serviable. Seulement, il ne pouvait pas laisser passer sans rien.

Il lui avait néanmoins fait la morale. Elle lui avait répondit arrogamment, comme elle semblait le faire avec lui depuis le début. Elle était rempli d'ironie, cette femme. Dean aimait bien cela. Pouvait-il terminer la soirée avec elle, en coup parti? Il commençait à mijoter sur ce. Cette femme l'allumait, en quelques sortes. C'était son point faible, les femmes. Le charme, la sensualité et tout ce qui avait du mordant. Tout comme le caractère de cette femme.

À la suite de son commentaire à son interlocutrice, afin de ne pas le prendre pour un idiot etc, elle lui dit:
" Ok .. Ok .. je suis navrée monsieur le policier  ". Elle avait rit en plus. «Alalaaa ... Je suis vraiment drôle vous ne trouvez pas ? » Dit-elle. Dean leva un sourcil, amusé. Il lui dit, retenant un rire, un sourire en coin, un sourcil levé: Pas du tout. il se forçait pour ne pas rire, pour être sérieux, adéquat et profesionnel. Il soupira quelque peu afin d'avaler son fou rire. De passer à autre chose.

Il avait, par la suite, fait une proposition à cette jeune femme. En fait, il lui avait un peu forcé la main. Il lui expliqua assez authentiquement explicitement ce qu'il en était. Il avait été transparent. Oupsi! Ce qui faisait de lui un être vulnérable et un peu pathétique ou même exécrable en tant que policier. Il pourrait peut-être tirer parti de la situation. Honte à lui, pensa-t-il, secrètement.  Elle lui dit: " Et que va devenir ma voiture ? Si vous appelez l'un de vos collègue pour la conduire et que je m'aperçois qu'elle en a bavé, vous et votre collègue aurait à faire à moi ! " . Il acquiesça, un peu exaspéré. Puis, se reprit. Excusez-moi. il ria par la suite. La fixant dans les yeux. Peut-être cherchait-il à la confronter. Qui sait? Il dit : Je comptais plutôt garer votre voiture sur ce parking, tout près, avec vous comme passagère, et puis après nous nous serions rendu avec mon véhicule jusqu'à votre adresse. Vous viendrez demain la chercher. Ni vue, ni connue. précisa-t-il tout spécialement.  Par la suite, elle débarqua de l'automobile. Elle semblait un peu perdue, instable. Elle manquait d'équilibre. Dean était alerte à la rattraper. Combien de verres avait-elle bu, pensa-t-il. Il se le demandait. Elle rouvrit, la preuve les yeux, après les avoir fermés, peu de temps, mais quand même. Justement, c'était ça le problème, avoir bu et avoir pris le volant. Elle lui faisait par la suite du charme. Dean avait envie d'embarquer et faire de même, mais il pourrait certainement le faire plus tard, au mieux. Il était clair qu'elle se jouait de lui. Comment pouvait-elle se moquer et se jouer de lui alors qu'il lui avait dit. Dans tous les cas, Dean voulait son numéro. Sauf qu'il n'était pas question qu'elle se sente si désirable. En plus, professionnalisme était de mise. C'était peine perdu.

Dean se contenta de soutenir son regard et lui dit: On y va?

La fin de soirée ne s’annonçait pas être cool finalement. J'avais passé une excellente soirée avec mes amis, nous avions dansé toute la nuit et bu une quantité je l'avoue très importante d'alcool. Cela ne me ressemblait pas, j'avais l'habitude de ne pas consommer quand je savais que je devais prendre le volant au retour. Une petite folie ne fait pas de mal. Quoi que si, je m'étais faite arrêter par un policier ma foi plutôt mignon. Non ce n'était pas ce genre de policier âgé qui était attendu par sa femme le soir à la maison. C'était plutôt le genre à charmer, draguer. Cela se voyait a sa manière de parler et d'ailleurs il m'avait bien dit qu'il pourrait me draguer mais qu'il saurait que j'en profiterais pour me sortir de là. Il n'avait pas tort d'ailleurs. Ben quoi tout le monde aurait fait n'importe quoi pour ne pas être amené au poste de police. Je l'avais déjà fait plusieurs fois et cela n'a pas été une partie de plaisir, c'était ennuyeux tu ne faisais rien tu ne pouvais même pas discuter par téléphone où même jouer à des jeux histoire de ne pas galérer ,parce qu'on te le confisquait. J'avais vraiment pas envie de le refaire a nouveau. Pourtant, malgré le fait que je ne voulais pas y retourner je faisait malheureusement tout ce qu'il fallait pour me retrouver au poste. Je m'adressais quelque peu avec insolence et amusement. Je ne sais pas ce qui me prenait surement l'alcool qui m'a complétement tourner l'esprit.
J'avais fait une petite blague au policer, ce qui m'avais pas mal amusé , j'avais même éclater de rire. J'avais ajouté par la suite très fière de moi que j'étais drôle. Celui ci semblait essayer de ne pas rire et de garder son sérieux, ce qui se comprenait quand il avait un travail très sérieux. Je ne pouvais pas m'empêcher de dire: « Mais oui c'est cela on n'y croit tous, allez y rigoler ne vous inquiéter pas je ne dirais rien a personne» Je terminais ma phrase en chuchotant.

Moi qui avait cru qu'un collègue allait prendre ma voiture et l'emmener chez moi, je m'étais trompé. La dernière fois que je m'étais faite arrêter pour grillage d'un feu rouge,un policier avait conduit ma voiture jusqu'au poste de police. Ce jour la je n’avais pas eu de cadeaux: amende et retrait de point. Là j'avais de la chance avec celui-ci qui se montrer quelque peu compréhensif. Il m'avait dit qu'il allait l'emmener au parking d'à coté et que je devrais aller la chercher plus tard soit demain lorsque l'alcool aura perdu son effet. J’acquiesçai. De toute façon je n’avais pas trop le choix.

Je descendait de mon véhicule. Au moment ou je tenais sur mes pieds, ma tête se mit à tourné. Je voyais noir. Je vit que le policier était prêt à m'attraper au cas où je perdait l'équilibre. Ce fut un geste gentil de sa part. Ma tête s'arrêta de tourner je repris donc mes esprits et tentais de charmer ce monsieur. Ben quoi il était pas mal si on regardait bien. Il n'entra pas dans mon jeu,  peut-être que je ne lui plaisait pas en fait ou bien voulait-il juste ne pas tomber dedans et garder son sérieux. «On y va» m'avait-il dit. Je me dirigeais donc du coté passager de ma voiture, chose que je n'avais jamais faite et j’insistai encore : « Par contre , s'il vous plait  même si on vas juste a 3 mètre d'ici, ne taper pas de poteau, ma voiture sans elle je ne suis rien !» Mais qu'est-ce que je racontait ? C'est sur là je perdais la tête. Je m'adossais sur le siège la tête en arrière oubliant de mettre ma ceinture de sécurité.  

Les flics étaient guerre appréciés des gens. La plupart des gens les avaient en desestime, en dégoût ou en haine. Parfois, il y avait des gens, qui les idôlatraient. C'était pas si rare, mais dans tous les cas, êtres flics, c'était un drôle de métier, rarement commode. Il ne fallait pas se soucier réelleent de ce que les gens pensaient pour faire ce travail. Dean avait toujours su son charme pour se faire une carapace. Maintenant, il avait moins cette carapace. La plupart du temps maintenant, d'autres choses lui traversait l'esprit. Bien que ce soir, il laissait passer une infraction, pour la personnalité, les beaux yeux etc d'une femme. Il n'était pas réellement en possession de tous ses moyens, même-si, c'était lui qui avait le gros bout du bâton, oups- à mourir de rire...

Ça semblait à tout le moins être une soirée qui avait été amusante pour la jeune femme. Dean n'avait pas eu ce luxe. Il était fatigué, mais il ne bronchait pas et il était pas de mauvaise humeur. Il se surprenait lui-même. Il avait garder son calme et avait même été plutôt impressionné par la jeune femme et aussi séduit par elle. Le pauvre, toujours aussi facile à manipuler pour l'attention d'une déesse. Elle se jouait de lui, tentait de s'en échappé pour ne pas subir les conséquences en le séduisant. Toutefois, elle ne semblait pas être ce genre de personne méchante et si manipulatrice et ou malhonnête. Puis, elle ne semblait pas non plus être ce genre de femme idiote qui s'éprend d'un policier que parce qu'il l'est. Heureusement! Dean avait trop rencontré de femme qui avait voulu profiter de lui ou bien qui s'était épris de lui, bien souvent trop. Dean n'était pas ce genre de mec qui a des attaches. Il commençait tout juste à s'en approcher et puis à ne plus éviter autant soit peu possible de fuir telle chose.

Finalement, la jeune femme avait accepté sa proposition après nombreuses répliques arrogantes, insolente et non pas inconséquente. Dean lui avait répondu du tact au tact et de fois avec humour et ou exaspération. C'était une drôle de situation, mais ça ferait une autre bonne annecdote à raconter, dans le respect, -bien sûr! Dean à quelques égard avait falli abandonné son sérieux et flanché à ses plaisenteries et moqueries. Par chance, Dean avait de l'expérience. « Mais oui c'est cela on n'y croit tous, allez y rigoler ne vous inquiéter pas je ne dirais rien a personne». Dit-elle. Dean savait qu'il était pas profesionnel, qu'il la chuchotait presque, qu'il était risqué pour lui de faire pareil chose. Il y avait de quoi aussi pour elle de dire sa phrase en chuchotant, elle avait d'affaire à être reconnaissante, pensa Dean. Il haussa les sourcils, suspect. Il ravala sa salive et soupire. Puis, il sourit et lui fit un clin d'oeil en attendant qu'elle sorte afin de garer finalement cette voiture et en finir avec toutes ces péripéties qui pouvaient le mettre à son désavantage.

Elle sortit du véhicule, mais ne semblait pas en équilibre trop trop. Dean était attentif. Elle tenta de le charmer, Dean garda son sérieux, encore un peu. Le temps de rentrer dans le véhicule et de partir d'ici. Ils rentrèrent dans sa voiture et elle s'installa, oubliant toutefois de s'attacher. Il espérait que ce ne soit pas une tactique ou bien dans ses habitudes. Il ne s'en officialisa pas et arrêta de se poser des questions. Elle lui dit juste avant qu'il décide à lui-même lui mettre sa ceinture : « Par contre , s'il vous plait  même si on vas juste a 3 mètre d'ici, ne taper pas de poteau, ma voiture sans elle je ne suis rien !» . Dean alors lui répondit: Ne vous inquiétez pas, moi aussi ma voiture c'est toute ma vie, entre autre. Bon c'était exasgéré, mais il comprenait ce qu'elle voulait dire. Lui aussi il avait une voiture qu'il avait depuis des années et qu'il entretenait lui-même. Finalement, avant de s'attacher lui-même, il se déplaça et attacha Mahera. Il la connaissait peu, mais il ne se gêna pas. Techniquement, en voyant ses papier, il en connaissait presque autant que probablement des connaissances ou amis qu'elle avait. Sans parler de leurs échanges. Voilà, fit-il lorsque la ceinture fut bouclée. Il s'attacha et démarra de sorte à la garrer. Par la suite, il mit le frein à main et coupa le contact. On y va ma jolie, fit-il? Ils avaient à transférer de voiture et puis après il irait la reconduire. Il laissa s'échapper, en étant plus fidèle à lui-même et naturel, un petit côté de lui qui traduisait qu'elle lui plaisait.