Déjà un an, une année complète passée. Passée loin de chez moi, loin de ma terre, de mes racines, de mes envies. Jamais je n’aurais imaginée quitté les rives claires de ma mer. Je ne l’aurais même jamais envisagée, si seulement, vous ne m’aviez pas quitté. Tu vois grand-frère, ont avaient souvent tendance à refaire le monde nous deux, maintenant, je refais ma vie. Ma vie si vous seriez toujours présent sur cette terre. Ma vie où elle devrait être …

Tu sais, j’ai beau faire comme si cela ne me touchais plus. Comme si ce qu’il a fait ne m’a pas davantage affectée. Grand-frère, je ne cesse de pensée lui. J’ai été conne de croire au conte de fée … Je sais que cela n’existe que dans les films, mais j’avais juste envie de croire en notre amour. Tu sais, quand je l’ai vu avec elle. Le voir, prendre une autre que moi dans ses bras qui m’était destiné. Le voir déposé sa main, sur la joue de cette intruse. L’observé l’embrasser, comme si ça serais moi …

Il m’a poussé à quitté tout ce que j’avais. Pour lui j’aurais été forte, j’aurais repris votre relève. J’aurais été la fille du chef de la tribu depuis neuf générations. Mais quand j’ai vu cette fille et lui, sur notre plage. Toutes nos promesse, tous nos rêves, tous ce que l’ont était ses envolée. Tout s’est brisé, comme du cristal qui heurte le sol. Comme la vie des parents quand la voiture à perdu la contrôle. Comme toi quand tu as coulé …

Grand-frère, comment fait-ont pour oublié ? Comment peut-ont aimé jusqu’à souffrir ? Comment est-ce possible de vivre avec cet lui qui me poursuit ? Dit moi, grand-frère, comment je fais pour tiré un trait ? Toi qui était si fier de mon amour si fort, si pur, si vrai … Toi qui me chantait qu’il m’aimait. Je l’ai dans la peau, comme toi tu avais Kat dans la tienne. Mais je n’en peu plus de souffrir, de me demandé ce qu’il fait, où il est, avec qui ?

Le bruit de la porte me sort de mes pensées envahie par lui … Je me lève péniblement de mon immense lit, je me traîne jusqu’au salon pour constaté que Shane à disparu encore … J’ouvre là porte sans conviction, limite j’ai envie de voir personne. Mon passé comble ma soirée déserte.

C’est impossible !? Mon cœur s’emballe, je ne sais pas si j’ai envie de le giflé, de la frappé, de l’insulté de tous les noms possible et inimaginable. Ou si j’ai juste envie de me blottir dans ses bras … Mais qu’est-ce qu’il fait là ? Je reste sans mots … Des larmes inondes mes yeux bleu, *Reste forte Oz*. Je perds le contrôle, je ne réponds plus de mon corps quand ma main claque sur sa joue. Il a du la sentir malheureusement pour lui. Même pas une seconde après, je dépose ma main sur son visage, un peu pour me convaincre qu’il est vraiment là …

Mon regard se veux tende, ma main caresse sa joue … Je lui en veux tellement d’avoir tout détruit. Comment, je peux l’aimer tout en le détestant ? Ses plus fort que moi, je ne peux m’empêchée de l’aimé … Mes parents appelais le véritable amour, celui que rien ne peu gâcher. Aimer à en avoir mal …

     - C’est vraiment toi !? …

Une larme s’égards sur ma joue quand ses mots s’évade de mes lèvres. Je suis perdue grand-frère …

     - Mais … Mais qu’est-ce que tu fiche ici !? Tu … Tu n’as pas le droit, de revenir comme ça …

Mes avant bas heurte son torse les point serré. J’ai l’impression de revivre ce moment où je l’ai vu avec elle … Pourtant quand je le regarde je ne vois que nous.

     - Reste pas comme ça … Fait quelques chose … Dit quelques chose … Prends moi dans tes bras … Embrasse moi … Explique toi ! Qu’est-ce que tu espérais !? Qu’est-ce tu veux !? …

© charney