âge + 25 ans ; personnalité +  leader - confiant - combattant - sportif - romantique - Impatient - charismatique – audacieux – franc – direct - attentionné – maniaque – perfectionniste - rageux signes particulier + Dyslexique – Plusieurs tatouages sur le corps – quelques cicatrices dont une à l’arcade sourcilière civilité + monsieur; orientation sexuelle + Hétéro ; métier exercé + Footballeur pro ; études + // ; description physique + 1m80-cheveux brun toujours relevé avec du gel - parfois une barbe parfaitement taillé-musclé ; groupe choisi + Twixx ; personnalité choisie + Nicola Tortorella ;

Tobias est né et a toujours vécu en Allemagne,
C’est un joueur de football pro, il est donc très connu dans le milieu. Ce sport est toute sa vie,
Il souffre d’une dyslexie profonde. Incapable d’écrire correctement et éprouvant quelques difficultés pour la lecture, ça l’handicape pas mal et il doit toujours demander à ce qu’on le corrige,
Il ne parle pas très bien l’anglais et s’exprime avec un très fort accent allemand,
Il n’est pas contre le fait de faire des photos et de signer des autographes à ses fans dans les rues, mais il déteste être dérangé au resto, au cinéma ou au magasin par exemple.
Il ne supporte pas quand ses cheveux ne sont pas bien coiffés,
En tant que sportif, il fait très attention à ce qu’il mange. De plus il ne fume pas ou que très rarement.
Il a coupé tout contact avec son père depuis plus de 10 ans. Depuis qu’il l’a frappé en plein visage en apprenant qu’il n’allait plus à l’école,
Il a toujours été le dernier de la classe à cause de sa dyslexie et du fait qu’il détestait l’école. Tout ce qui l’intéressait c’était de faire du foot. Dès qu’il en eu l’occasion, il laissa tomber le lycée pour se consacrer à sa passion. Il n’a donc pas son bac,
Il a l’alcool violent.
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13 juin 2014

Citation :

« Jäger reprend le ballon et sprint vers le goal, personne n’arrive à l’arrêter, il va tenter, il … Goooaaal !! Goal de Jäger à 10 minutes de la fine du match. C’est sous les cris de joies des supporter que nous allons revoir ce magnifique but qui marquera peut-être la victoire de l’Allemagne dans cette coupe du monde … »  

Interviewer : Alors Tobias, qu’avez-vous ressenti lorsque vous avez marqué ce but qui a permis à votre pays de devenir les champions de la coupe du Monde ?

Tobias Jäger : Humm, je dirais sans hésiter de la joie mais surtout une immense fierté. Vous savez, Ce sentiment de fierté à chaque but marqué, ces acclamations des supportes, cette sensation à chaque fin de match … c’est un sentiment indescriptible. Selon moi le plus important dans la vie c’est de faire ce qu’on aime et de trouver sa voie. Moi je l’ai trouvé dans le foot et en gagnant cette coupe je constate encore une fois que j’ai fait le bon choix m’entraînant si dur pour entrer dans l’équipe. Je suis fait pour être footballeur car seul ce métier pouvait me procurer autant de satisfaction et de plaisir.

I : Et en vous voyant manier le ballon avec tant de savoir-faire, on ne peut que confirmer que vous êtes fait pour ça. Pourtant, ce n’était pas gagné d’avance …

TJ : Non c’est vrai. Vous savez, je viens d’une famille assez pauvre. Mes parents se démenaient pour payer les études à mon petit frère, ma sœur jumelle et moi. Ils espéraient qu’on puisse faire de grands métiers pour sortir de la misère. Seulement, ma dyslexie me freinait énormément et surtout, j’avais qu’une chose en tête : le foot. Jouer dans les pacs n’était pas suffisant pour moi, je voulais entrer dans un bon club pour en faire mon métier, mais mon paternel ne voulait pas que je quitte les bancs de l’école. Il n’a jamais été de mon côté et on s’est souvent prit la tête à cause de ça. J’avais seulement le soutient de ma mère qui, en cachette, avait mis toutes ses économies  pour me faire entrer dans le club à l’âge de mes 10 ans. Plus je grandissais, plus les entraînements étaient fréquents. Je ratais donc souvent les cours pour aller m’entraîner sans que mon père ne le sache. Ma mère a su garder le secret pendant longtemps et elle faisait énormément d’heures supplémentaires pour moi. Je lui dois tout !

I : Mais vous n’avez pas su garder le secret indéfiniment …

TJ : Non c’est vrai. Le jour où il l’a appris, il est entré dans une colère folle. Je devais avoir 14-15 ans et je ne l’avais jamais vu comme ça. Je n’ai jamais été très proche de lui, mais ce jour-là il m’a perdu pour de bon. Je suis parti de la maison pour aller vivre chez mon coach. Ma mère venait de temps en temps me rendre visite avec mon frère et ma sœur. Cette « séparation » n’était pas facile, mais c’était le prix à payer pour vivre ma passion.

I : Et vous n’avez pas vu votre père depuis ?

TJ : Non et c’est bien comme ça.

I : Le soutient de votre mère était donc très important. Pouvez-vous compter sur quelqu’un d’autre aussi ou était-ce la seule ?

TJ : Non elle n'était pas la seule. A mes 18 ans, quand ma carrière commençait vraiment à prendre son envol et que j’eu assez pour me payer mon propre appartement, une fille a débarqué dans ma vie…

I : Cette même fille que l’on voit dans les gradins vous supporter à de nombreux matchs j’imagine

TJ : Exactement. Je me rappellerai toujours du jour où elle est arrivée dans ma vie. Elle venait d’arriver en Allemagne … elle n’avait nulle part où aller et je lui ai proposé de l’héberger le temps qu’elle se trouve un logement. Finalement elle ne m’a jamais quitté. C’est ma plus grande fane et elle me soutient psychologiquement. Elle m’aide à garder la tête sur les épaules [rire].

I : Merci pour cette interview Tobias. Je suppose que vous allez fêter cette victoire avec votre équipe. En tout cas on vous souhaite une bonne continuation !

TJ : Oui, une victoire pareille ça se fête ! Et merci, je ne suis pas prêt de dire au revoir au football je peux vous le garantir.

Aujourd’hui :

Je laissais tomber le magazine vieux de deux ans dans la valise. C’était l’une des interviews qui était la plus importante pour moi, alors je ne pouvais pas ne pas la prendre avec moi jusqu’à New-York. Je  fermais la tirette de mon bagage avant de le lancer dans le coffre du taxi. Je regardais une dernière fois mon appartement d’un air nostalgique. Ça avait été l’une des pires décisions que je dû prendre dans ma vie : lâcher le football et quitter l’Allemagne. Mais Kasia me manquait trop. Elle était la femme de ma vie et j’avais besoin d’elle à mes côtés. J’aurais dû la retenir ! Au lieu de ça, je l’avais laissé me quitter … Ce fut une erreur et je devais la réparer.  Au revoir l’Allemagne, bonjour les USA.

pseudo du web + Maryy ; âge + passé la vingtaine ; prénom + Devine  ; où as tu connu le forum + J’y suis déjà ; qu'en penses-tu ? + Il est horrible ! Haha non je plaisante, je l’adoore sinon je serais déjà plus là ; combien de temps penses-tu passé sur le forum + un maximum/7 ; code à remplir : [/size]

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[color=#ff3300]Nico Tortorello [/color]✞ Tobias H. Jäger