New York, la magnifique ville qui ne dort jamais, avec sa belle statue de la liberté. Tout est différent ici de Paris même la manière de parler et de manger et de marché dans la rue. Ici tu es libre de faire ce qui te plaît sans être jugé par qui que ce soit. La-bas à Paris, tu as un mari il t'a mise cocue sans que tu le sais bravo Cookie, tu dois te jeter dans un lac à présent ne rien voir alors que c'était juste sous ton nez. Tu es partie voir l'avocat et tu t'es chicané avec ton ou plutôt la personne qui était ton mari , même si la procédure est toujours en cours, tu agis comme étant célibataire. Les mères célibataires sont forte , ce sont comme une Lionne qui protège ses enfants.Te voilà entrain de marché dans Broadway a faire la touriste pour oublié qu'a l'hôpital, ce fut le même constat, tu es malade et que si tu ne te bouges pas, tu risques d'y laisser ta vie. Tu as un appareil photo en main. Quand soudain tu aperçois celle qui a été si gentille avec toi et ta rassuré dans la salle d'examen. Tu décide de marché vers elle. Comme elle était de dos, tu avais décidé en toute innocence comme tu le faisais à Paris de poser ton bras sur son épaule pour qu'elle sache que tu es là et que tu voulais lui parler. " Bonjour Katsia cela fait plaisir de te revoir "

Tout ce monde à la caisse ça me rend dingue, dans ces moments-là je me rends compte qu'il aurait été plus simple de commander en ligne et de me faire livrer. Je déteste ça, ces personnes inconnus qui me collent, qui me bousculent sans prendre la peine de s'excuser comme si le fait qu'il y avait foule les excusaient automatiquement dû au manque de place. Je crois reconnaître une de mes voisine. Non, je confirme, c'est bien elle, elle me fait un signe de la main m'invitant à la rejoindre. Merde, j'ai pas envie, c'est une migraine pour toute la journée cette femme là. J'improvise donc et lui fait comprendre que la mamie devant moi est ma grand-mère et qu'elle n'est pas très à l'aise avec les gens. La vieille dame se retourne et me fusil du regard. La discrétion c'est vraiment pas mon fort pourtant je n'ai fait que des signes avec mes mains et articulé sans émettre de son avec mes lèvres. Oh, les vidéos de surveillance bien sûr les vidéos se trouvent juste en face de nous et je peux la voir me regarder fière d'elle, je lui adresse alors un large sourire comme pour lui dire "désolé". (...) Mon sac de course en main, je me dirige vers ma petite voiture que j'ai garé un peu plus loin dans un emplacement réservé aux livraisons par manque de place. Je sens alors une main se poser sur mon épaule, bon sang mais qu'est-ce qu'elle me veut à la fin ?! ❝ Vous voulez quoi encore ? ❞ Avais-je dis sèchement, je détestais qu'on m'interpelle de la sorte, je détestais que des inconnus me touchent. Je détestais qu'on me touche tout simplement. ❝ Oh... madame Martin c'est vous... je... vraiment désolé... je vous ai pris pour quelqu'un d'autre.❞ Quelle conne j'étais, je me sentais tellement stupide à présent, elle allait très certainement me prendre pour une folle à lier.