Let's have a good time

Théo & Gabriel ••• Lorsque Gabriel s’était installé sur le canapé, va savoir pourquoi, il s’était directement installé aux côtés du jeune homme. Ouais bon, il s’était carrément collé à lui en fait. Peut-être parce qu’il avait envie de se coller à lui tout simplement, peut-être pour avoir un peu de chaleur humaine. Peut-être un peu des deux en fait. Il aimait bien cette proximité. Il faudrait vraiment qu’il commence à se coller aux gens un peu plus. Non, surtout à Théo en fait. Mais il y avait quelque chose qui l’attirait chez lui, il ne savait pas trop quoi. Tout ce qu’il savait c’était qu’il lui plaisait vraiment beaucoup ce garçon-là. Il était plus attiré par lui qu’il ne l’avait jamais été auparavant. Il ne savait même pas qu’il pouvait être aussi attiré par quelqu’un mais en même temps, quand on regardait Théo, on pouvait le comprendre. C’était un canon de beauté, presque un top modèle même. Il se demandait presque si c’était une sorte de rêve ambulant.

Il fut rapidement sorti de ses pensées sur son.. ami, lorsqu’il entendait un cri à la télévision, quelqu’un qui se faisait tuer, se faisait poignarder et de façon plutôt violente. Il avait tellement été pris au dépourvu qu’il sursautait avant de se blottir contre le jeune homme presque naturellement, comme si c’était quelque chose qu’il pouvait faire presque naturellement, sans vraiment chercher à voir si ça allait brusquer Théo ou non. Mais il pensait bien que ça ne l’avait pas perturbé étant donné qu’il avait eu l’impression de sentir son regard sur lui quelques temps plus tôt. Il restait contre lui, tentant de se mettre dans une position plutôt confortable pour les deux. Il tournait légèrement la tête sur le côté, plongeant son regard dans celui de Théo, les joues rougies à cause de la proximité. Il n’y était pas vraiment habitué mais il ne trouvait pas cela si déplaisant, au contraire même. « Je.. Mh.. Désolé, ça m’a fait vraiment peur.. T-Tu veux que je me décolles de toi peut-être ? »

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Théo & Gabriel ••• Gabriel avait littéralement été terrifié par ce meurtre. Ouais parce qu’il était le genre de garçon à s’effrayer pour un rien, même s’il regardait des choses du genre de Scream ou même American Horror Story. C’était un peu un peureux dans le fond, c’était pour ça que la première chose qu’il avait faite, c’était s’effrayer et se blottir contre Théo. Et puis, il ne s’arrêtait pas de le regarder, comme si c’était biologiquement impossible, et peut-être que dans le fond, ça l’était. En tout cas, il posait son regard sur les lèvres du jeune homme en le voyant mordre cette dernière puis sourire en coin. Il était entrain de rêver là, non ? Tout ce qu’il savait c’était que quelques secondes plus tard, il était entrain de l’embrasser et c’était à ce miment précis qu’il se disait que oui, il était forcément entrain de rêver, ce n’était pas possible que Théo fasse ce genre de choses.. Si ? Non ? Il ne sait pas trop, il n’arrivait pas vraiment à penser quand un canon de beauté comme lui était entrain de l’embrasser. Peut-être parce que ce n’était pas habituel, peut-être parce qu’il lui faisait un effet fou ? Tout ce qu’il savait, c’était qu’il se reprenait rapidement afin de répondre au baiser au bout d’un moment, oui parce qu’il était perturbé au début tout de même, tout en allant mettre une de ses mains dans la chevelure de Théo, ne sachant pas quoi faire de son autre main. Mais il finit par tout de même la poser sur le ventre de l’aîné. Ce baiser était juste divin mais malheureusement, il du y mettre fin lorsqu’il n’avait plus de souffle. Et à ce moment précis, il se maudissait pour ne pas être un vampire. Comme ça, le baiser aurait duré bien plus longtemps. En plus, maintenant, il avait l’impression qu’il allait devenir un addict, il en voulait plus. Ou peut-être qu’il avait besoin de plus ? Qui sait ? « Je.. Wow. Tu embrasses vraiment bien, je.. J’ai adoré. Tu voudrais bien qu’on le refasse, histoire de voir si c’est toujours aussi bien ? »

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Théo & Gabriel ••• Très clairement, Gabriel n’avait pas tout de suite su s’il devrait ou non répondre au baiser. Bon, il voulait vraiment beaucoup mais c’était juste son cerveau qui, à son habitude, n’arrêtait pas de beuguer. Mais il avait rapidement mis son cerveau sur pause, chose qui n’arrive pas du tout souvent, pour mouver ses lèvres contre celles du garçon, posant ses mains sur lui. C’était plus fort que lui, ses cheveux étaient doux et il avait vraiment besoin de contact lorsqu’il embrassait quelqu’un. Peut-être parce qu’il trouvait vraiment que c’était un acte vraiment intime. Il se demandait si Théo pensait la même chose. Un fois à bout de souffle, ses lèvres avaient à nouveau lâché des sons avant que son cerveau ne puisse même y penser, et il lui demandait s’ils pouvaient refaire cela.

Ils étaient maintenant allongé sur le canapé et la seule lumière provenait de la cuisine. Des frissons traversaient Gabriel au simple touchers de l’aîné sur sa peau alors qu’il fardait les yeux clos durant ces baisers langoureux, voulant en profiter un maximum. Il en oubliait presque tout ce qui se passait autour d’eux, comme s’ils étaient dans une sorte de bulle. C’était vraiment extraordinaire, sérieusement. Et puis, Théo embrassait comme un expert, il fallait se l’avouer. Il se demandait d’ailleurs si Théo appréciait ce baiser autant que lui et si le goût de cigarette que Gabriel avait en bouche ne le dérangeait pas. En sentant les mains du garçon sur son postérieur, il collait encore plus son corps contre le sien et ça semblait si naturel. Une de ses mains passait à plusieurs fois dans sa chevelure, ruinant réellement la coiffure de Théo alors que l’autre finissait enfin par se glisser sous le tissu de son haut, glissant le long de son torse, c’était vraiment agréable au toucher.

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Théo & Gabriel ••• Le baiser était vraiment plaisant, Gabriel s’était carrément limite perdu dedans. Mais qui pourrait lui en vouloir ? Ce garçon avait juste l’air d’un Dieu pour embrasser et en plus de cela, il avait presque l’impression que leur corps étaient fait pour être l’un sur l’autre, ouais autant pervers que ça puisse sonner. Mais malheureusement, le baiser ne tardait pas à prendre fin, pour le malheur de l’étudiant. Il avait plutôt aimé cela. C’était vraiment plaisant et disons que ça avait eu un certain effet sur son corps qui pouvait être tout de même assez voyant. « D’accord.. Comme tu voudras ? » Lui demandait-il avant de le regarder se lever pour aller à la salle de bain. Gabriel avait vraiment la soudaine impression que l’atmosphère était devenue… Etrange. Et ça le perturbait un max quand même. Et en plus, se connaissant, il allait rendre les choses encore plus bizarres, sans même faire exprès. Ou peut-être qu’il allait vouloir sortir de cette impression de malaise en tentant de parler, encore, encore et encore mais ça n’aidera sûrement pas les choses. Il finit par se remettre bien dans le canapé, un coussin sur les cuisses pour cacher une certaine chose que Théo avait réveillé grâce à ses baisers et ses abdos. Valait mieux qu’il ne voit pas ça, sinon, ce serait encore pire. Finalement, il le voyait revenir, enfin il l’entendait. « Oh, euh.. Alors je vais rester s’il pleut de trop dehors ? Enfin, sauf si tu veux que je m’en aille, du genre… Que je rentre chez moi si tu as des choses à faire, je t’en voudrais pas du tout. Mais si tu as rien à faire, ça ne me déplairait pas vraiment de rester ici, ce serait même plutôt cool. Si tu en as l’envie aussi. » Gabriel, ferme-là. Ouais, une petite voix dans sa tête lui disait ça mais bon… Il n’aimait pas vraiment l’écouter. Il posait son regard sur lui et putain, il avait vraiment l’air mal à l’aise. Il ne savait pas vraiment quoi faire pour qu’il ne le soit plus. « Eh, tu as pas besoin d’être mal à l’aise tu sais, on s’est embrassé, c’est pas comme si tu venais de voir ma sextape. » Dit-il avant d’être vraiment à la limite de se mettre une gifle mentale. Il devrait se la fermer, ou réfléchir un peu avant de parler. « Pas que j’en ai fait une. J’en ai jamais faite mais bon, je comprends pas ce qui en font… » Dit-il en fronçant doucement les sourcils. « Pas que j’ai quelque chose contre eux, hein. J’pense que si l’opportunité se présentait ou que quelqu’un voudrait en faire une avec moi je dirais pas non. Quoique, je sais pas trop. Je vais me taire. »