l'histoire de ton personnage
«
Alcide ..tu m'entends ?.. » une voix très inquiète presque suppliante, d'une femme, me parvient aux oreilles. J'entendais encore des bourdonnement. Je grimace horriblement et tousse. «
Ariel » J'articule avec un gout très amer sucrée dans ma bouche , je sentais un liquide chaude près de mes lèvres. Ariel paniquée, pose une main rassurante près de mes lèvres. Je hurle d'un ton très sec «
Ariel , me touche pas !.. » Je supplie de douleur, la tête enfoncé contre l'air bague. En passant ma langue sur ma lèvres, je ressens une léger douleur au niveau de ma lèvres. Elle est comme fondu en deux. Je recrache, en m'appuyant presque d'épuisement en grognon avec l'aide d'Ariel ,qui attrape son portable dans son sac morte d'inquiétude. Son regarde remplie de larme ,étouffé dans sa gorge, elle se racle la gorge ,me demande avec cet douleur dans sa voix tremblante «
Pardon .... » elle ne cessa pas de se répéter , la porte de la voiture grince ,quand Ariel essaye désespérément de la pousser avec beaucoup de difficultés, je la fixe très inquiet a mon tour, le regarde très vide, la vue qui se trouble, des flash très troublant, comme des flashs d'un appareil photos , Ariel sortait de la voiture pousse un criser de stupeur ,se retourne contre la voiture tremblant ,je sort a mon tour en essayent de pas hurler de douleur ,j'avais quelles côtes brisées ,me tenant le torse de douleur ,a chaque de mes pas sur le sol je sentais une de mes côtes briser , mais j'avance vers un corps étendu sur le sol ,une mare de sang près de lui ,son casque sur sa tête «
Non.... » je souffle la gorge sèche ,du sang coulant de ma lèvres aussi , j avance en m aidant d une main sur le capote de la voiture , en essayant de respirer, Ariel se tenait la bouche en état de choque son corps tendu ,son sac s écrase sur le sol je me mets sur mes genoux devant le corps d'un homme «
vous m'entendez ? » je demande assez difficilement. Je pose alors ma main près de son cou pour sentir s'il avait des pulsion ... rien. Mon visage se déforme pendant que mon estomac se retourne et qu'un liquide visqueux et peu agréable passe entre mes lèvres. Les traits de mon visage se crispe, malgré cette douleur aux lèvres. Ariel tente en suffoquant presque avais le teint qui avais pâlie , en s avance d un pas très lourde comme si elle allait s'écrouler, le téléphone sonne ,je soufflais exaspérer. Ariel,celle-ci me dit c'est Noa, elle remarque l'écran s'allume a chacune des sonneries, je reste a genou, le regarde dans le vide, paniqué, les lèvres sèche, le timbre de voix très inquiet et les yeux fixé sur le corps sens vie. «
Faut .. appeler la police ... » dis-je en articulant entre mes lèvres encore incapable de retoucher le corps. Le vélo de l'homme écrasé près de la route, dans la foret, aucune voiture a l'horizon, j'inspire lourdement avec cette douleur atroce, Ariel s'accroupie et me fixe d'un regard très effrayé/ Elle prend mes mans et les serre en s'assurant que je vais bien à quoi je hoche la tête.
Quelles années plus tard, je me retrouve devant mon bureau a Boston, fixant mon diplôme posé sur le bureau près de mon ordinateur allumé. Laissant mon pouce passer sur les reliefs de mon diplôme en médecine et mon esprit se perdre dans mes pensées, je me rappelais de cet nuit, la nuit de l'accident avec Ariel et surtout le moment ou elle m'avait convaincu de ne rien dire à la police. Cette discussion et cette décision me hante chaque nuit. Je me réveille toujours en sursaut, en sueur avec un respiration très lourde, emplie d'un certain dégoût envers moi même. Je n'arrive plus a me regarder dans le miroir, ou encore revoir Noa. En repensant à cette dernière, mon coeur eu un pincement. J'avais laissé une simple lettre avec un mot inscrit dessus pour partir avec Ariel qui m'avais soutenu à chaque moment après cette fameuse nuit. D'ailleurs, l'accident est même passé au information à la télévision. Il n'y avait évidement pas de témoins et l'enquête n'avait mené nulle part. J'en était tellement malade, qu'un soir, alors que j'étais ivre, je me suis presque livré : titubant devant le commissariat, les larmes sur les jours, avec un lourd sentiment de culpabilité. La gorge nouée, j'avais hurlé désespérément sur Ariel qui me tenais fermement dans ses bras alors qu'elle me caressait les cheveux dans la voiture de cette dernière. «
Docteur Mckay » J’étais totalement perdu dans mes pensées, lorsqu'un homme d'un certain age me regardais avec cette lueur inquiète de ses yeux gris parsumé de relief bleu. Il s'avance et me dit : «
Désolé les heures de garde ». Je soufflais simplement avec un sourire forcé, il me prit mon diplôme me souris chaleureusement et m'explique que je suis le plus doué des médecins, qu'il se sentais si fière de m'avoir offert ce poste, et que j'allais avoir un sacré avenir. «
Merci... Josh » dis-j sincérement. Il m'ordonne alors d'aller me reposer, après '8h de garde, j'allais devenir dingue. Je me retourne lentement vers la fenêtre, tout en me rappelant les préparatifs du mariage avec Noa. Son père lui était très impatient, moi paniquer pris d'un haut le coeur chaque fois que j'entendais les idées de musique, ou encore les fleurs. Une amertune m'envahit aussitôt alors que c'est bien moi qui l'ai demandé en mariage. J'avais cette attroce sentiment qui m'avais pas quitté depuis que j'avais fait ma demande. Ce mariage était une mauvaise idée. Mes parents diraient tout le contraire. K'inspire lourdement en soupirant a cette pensée. Mon père m'avais demandé de revenir a New York du a ses soucis cardiaque qui dure depuis des années. J'avais pris un rendez-vous pour lui avec un médecin très réputé a Boston, fait des examen mais mon paternel ne voulait rien entendre ! Il voulait catégoriquement que ce soit moi qui m'occupe de son dossier. Il m'en voulait aussi d'avoir laissé Noa, qu'elle était anéantie, il m'avais craché tout ça, que j'étais aussi une déception. Ma mère elle me souriant tristement mais avec tendresse dans ces gestes. La chaleur dans sa voix me faisait toujours du bien et m'emplit de nostalgie. Cette belle voix me permettait aussi d'avoir des nouvelles sur l'état de mon père. Je me demandait très souvent comment allait Ariel, je n'étais pas amoureux d'elle mais je lui devais beaucoup. Mais elle n'arrêté pas de me faire des crises de jalousie, de me supplié pour que je sorte avec elle pour des vacances, bref elle a commencé à étouffer. Au sujet des collègues malgré mon infidélité un soir j'avais trop bu, j'ai couché avec Natasha ,une jeune femme brillante séductrice, des cheveux brun couper jusque la nuque ces voix très sensuelle et tellement vivante . Entre mes heurs au travailler, Je pouvais plus, J'ai donc démission ,largué Ariel et son horriblement chantage pour que je reste avec elle , ce qu'elle avait avoué par la suite que l'homme n'était pas mort, simplement handicapé à vie, en chaise roulante «
Ariel .. c 'est fini ! » J'avais hurlais sèchement d'un ton glacial envers Ariel qui se moquer de moi ,avec un sourire très espiègle Elle m'avait menacé par rapport à la fameuse nuit de l'accident. « Fait le » J'avais prononcé aussi durement et provoquant à la fois, accompagné d'un regard froid. J'avais postulé pour un emplois a New York ,comme chef en Nero Chirurgie avec l'appuie de mes ex patronnes qui étaient très satisfaite.