âge + 33 ans ; personnalité + Bon vivant à mes heures, rigoureux, franc, discret, rancunier, direct, cachotier ; signes particulier + Quelques cicactrices ici et là ; civilité + monsieur; orientation sexuelle + Hétéro ; métier exercé + Ancien Navy Seals offrant par moment ses services en tant que gardes du corps aux richissimes familles ayant les moyens de le payer rubis sur l'ongle.; études + J'ai fréquenté l'université de la vie; description physique + Si j'étais totalement narcissique et imbu de ma personne je vous demanderais de me regarder , et bien sur de m'admirer, plutôt que de devoir me livrer à un exercice d'écriture mais n'étant pas ce genre de personne je vais donc aligner quelques mots afin de me décrire.  Étant de grande taille, un peu plus d'un mètre quatre vingt, je suis quelqu'un d'imposant physiquement comme en témoigne mes quatre vingt quinze kilogrammes et l'imposante musculature qui l'accompagne. Mes cheveux blonds, tirant par moment sur le brun, et mon regard ténébreux ne peut qu'ajouter à mon charme. Niveau style et tenue vestimentaire je dois admettre que je suis un adepte de la simplicité; jeans, chemise et t-shirt voilà ce qui compose en majeure partie le contenu de mon placard.; groupe choisi + Les Bountys ; personnalité choisie + Robert Buckley ;

Gamin j'étais ce que l'on peut qualifier de souffre douleur, je me laissais intimider sans rien dire tellement je pouvais craindre le regard que pouvait poser les autres sur moi. Histoire de passer pour un beau, et surtout bon, petit garçon sans histoire je préférais me fermer mais sans trop le réaliser le fait d'encaisser sans broncher se voulait encore plus destructeur puisque je devenais une bombe à retardement menaçant d'éclater à tout moment et croyez-moi c'était loin d'être joli lorsque je pétais les plombs.

Il y avait eu cette histoire avec Sam un mec du lycée qui avait des vues sur une fille pour qui je me mourrais secrètement d'amour. Le type était vachement balèze, sa carrure lui aurait permis de m'arracher la tête sans le moindre effort, il n'hésitait pas à me diminuer et à me tourner en ridicule dès que l'occasion se présentait et puis le fait qu'il se permette de s'afficher avec Celia me titillait et pas qu'un peu. À force d'encaisser je finis par avoir une idée fort peu intelligente soit celle de me pointer avec un bâton de baseball et vous pouvez me croire je ne visais pas une place dans l'équipe. Ce matin la chance semblait être avec moi puisque le gros fils de p avait cru bon me tourner le dos … voilà ma chance je n'allais tout de même pas la rater. Bang!!!!!!!!!! Coup de bâton derrière sa tête suivi d'un autre dans le dos et , afin de bien finir le travail, un autre dans la mâchoire. Direction chez le proviseur mais pour une fois je me sentais bien dans ma peau.

À mon retour , suite à ma suspension, je craignais les représailles mais tout se passa en douceur personne ne vint me chercher des histoires même que je sentais que l'on me respectait. C'est alors que j'ai compris, que contrairement à ce que ma mère m'avait toujours dis, la violence pouvait finalement avoir de son utilité. Est-ce que je me suis tapé Célia par la suite? Du coup elle ne m'intéressait plus , mon sens inné du swing – batte à la main – m'avait ouvert sur d'autres horizons.

C'est l'histoire d'un gamin doux, aimable avec ses proches, et plus qu'obéissant. Le portrait type de ce à quoi devrait ressembler le fils modèle, bon étudiant je faisais la joie de mes parents mais une ombre semblait vouloir se profiler à l'horizon. Ne parlant à personne de ce que je vivais, ne sachant que trop peu vers qui me tourner, je craignais que l'on ne me comprenne pas et que l'on me juge c'est pourquoi j'avais préféré passer sous silence toute cette intimidation que je subissais. Du moins jusqu'à ce que je ne pète totalement les plombs.

Cette journée ou je m'étais permis de passer à tabac ce jeune homme allait marquer un tournant dans mon existence mais pour le moment je l'ignorais totalement.

Mes parents étaient totalement désespérés, ils ne savaient plus quoi faire de ce gamin totalement hors de contrôle que j'étais devenu et l'administration du lycée cherchait à se débarrasser de moi … il faut dire que ma plus récente saute d'humeur avait terroriser plus d'un parent et avec raison d'ailleurs.

Expulsé du lycée, à peine âgé de 16 ans, et confronté au fait que mon comportement récent avait fait en sorte de me fermer à peu près toutes les portes je dus me résoudre à accepter la situation qui était d'accepter la proposition faites à mes parents par mon oncle. Ce dernier étant un haut gradé de l'armée américaine avait joué de ses relations afin de me trouver une place dans une des académies militaires les plus strictes au pays.

Dès mon arrivée sur place je compris que je ne pouvais compter que sur une personne, moi, cet endroit transpirait la peur … il suffisait de regarder les autres gosses pour que je réalise à quel point ils pouvaient regretter ce qui pouvait les avoir mené à cet endroit mais pour ma part je n'avais qu'un seul et unique regret : ne pas avoir défoncé la gueule de ce gros pd plus tôt.

Lors de mon séjour à l'académie j'y appris tout un tas de truc allant de l'art du combat à mains nues en passant par les techniques de tirs et le maniement des armes blanches sans oublier la manipulation des explosifs. Je vous jure c'était trop le pieds. Vous saviez qu'un type se vide de son sang en moins de 3 minutes si on lui sectionne la jugulaire? Moi je préfère l'aorte, c'est une histoire de quelques secondes tout au plus. Vous vous dites que mon séjour là bas m'a rendu encore plus dingue? Vous avez raison.

À ma sortie de l'académie je décidai de joindre l'armée après tout ce n'était pas comme si j'avais d'autres options.

Au fil des années qui allait suivre j'allais avoir une longue série d'affectation et je m'étais forgé la réputation d'une tête brûlée … j'avais accumulé plus d'un blâme. J'emmerdais la chaîne de commandement. Bien que mon oncle était un membre influent du Pentagone je finis néanmoins par me voir montrer la sortie.

Que peut bien faire un mec possédant mon expertise lorsqu'il se retrouve au chômage? Flipper des burgers chez McDonalds? Pas vraiment les amis. Je décidai de mettre mes services à la disposition des gens ayant les moyens de se les offrir. Que ce soit afin de servir de garde du corps ou pour un truc dont j'aime mieux ne pas trop détailler histoire de ne pas vous effrayer je ne demeurais pas longtemps sans boulot. Du moins c'était vrai jusqu'à ce que je déconne totalement. Je bossais pour cette richissime famille Arabe, le vieux me payait vachement bien, même qu'il semblait me considérer comme un fils mais ça c'était avant qu'il ne découvre que je faisais des trucs assez louche avec sa fille. Ne partez pas de rumeurs, elle était consentante. Évidemment je me retrouvai contraint à me casser vite fait, je tenais à ma vie après tout et vu l'étendue de son influence il aurait été plutôt mal avisé que je demeure dans cette partie du globe … il avait tellement la rage qu'il avait décidé de mettre ma tête à prix. 500 000 $ … ce qu'il est radin, je me serais attendu à valoir au moins 5 millions mais bon c'est la vie.

Maintenant je réside à New York et je mène une vie rangée mais je dois bien l'admettre j'aimerais bien par moment renouer avec mes compétences particulières.

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