âge + 22 ans, qui passeront à 23 dans moins de deux mois ; personnalité + Dévouée dans sa profession ainsi que plus particulièrement auprès des jeunes adolescents ○ Créative ○ S'adapte facilement au cadre environnant, que ce soit devant une classe ou en soirée ○ Sait faire la fête comme elle se doit de la faire ○ Réservée à l'égard de certaines personnes dont elle se méfie ○ Capricieuse ○ Réagit parfois encore comme une gamine malgré qu'elle soit désormais adulte ○ Imprévisible, Lauren peut aussi bien s'effacer devant une situation que de bouillir et s'emporter au quart de tour ; signes particulier + son annulaire est luxé depuis qu'elle a simulé un mariage en seconde au lycée, de par son énervement à vouloir stopper la comédie et arracher la bague qui compressait son doigt ; civilité + Mademoiselle, même pour ses élèves de quatrième ; orientation sexuelle + Homosexuelle ; métier exercé + Professeur d'espagnol au lycée ; description physique + Brune, grande, élancée ; groupe choisi + Les Bountys, naufragée parmi eux ; personnalité choisie + Troian bébé Belissiaro ;

Lauren et la cadette d'une portée de trois adorables (hum hum) filles toutes aussi belles qu'elle (mais l'une un peu plus que l'autre qui se fait vieille). Pour rien au monde elle ne laissera quelqu'un faire de mal à ses aînées ni à ses parents qui lui ont inculquée un modèle familial exemplaire. ☼ Lauren adore la viande et en mange tous les jours, ou au moins 6 fois par semaine. Elle ne comprend pas comment on peut devenir végétarien et ne pas profiter de ce bonheur qu'est la viande. D'ailleurs quand elle est invitée à un barbecue, c'est au plus près des braises qu'on aura le plus de chances de la trouver. ☼ Elle raffole également de crème glace. En fait, pour résumé le rapport entre Lauren et la nourriture, on peut dire que c'est une grosse bouffe. Et malgré tout ce qu'elle ingurgite, Lauren conserve une silhouette fine ce qui n'est pas sans faire des envieuses. ☼ Lauren déteste toutes les filles qui se donnent des airs pour plaire aux garçons, et qui détournent la signification du port d'une mini-jupe parce qu'elles veulent plaire à toute une bande de potes en même temps. Puis se balader avec une sucette en bouche toute la journée, c'est juste bon à faire tourner l'économie des cabinets dentaires. ☼ Lauren s'est rendue compte de son homosexualité le jour où un étudiant de sa promotion a tenté de l'embrasser après l'avoir draguée durant tout le cours en amphithéâtre. Lauren a repoussé le visage du sans-gêne qui l'a traitée de lesbienne. Les mots furent durs à accepter, mais s'avérèrent être un déclic pour Lauren qui acceptera dès lors les pulsions qui l'animent davantage quand elle pense aux filles et s'en trouve entourée. ☼ Laurent est cependant consciente que ses tendances sont à contre courant de la normalité et que tout le monde n'accepte pas que quelqu'un soit attiré par autre chose qu'une personne du sexe opposé. Elle n'ose plus s'avouer "naturelle" depuis sa prise de connaissance de ses préférences, et n'est encore pas parvenue à le dire à la moindre de ses amies; ni même à sa mère ni ses soeurs proches.

Dès mon enfance l'attrait pour les langues m'est apparu. D'abord pour le français qu'un élève parlait dans ma classe car il était originaire d'Europe et de ce pays qui a pour capitale Paris dont on a récemment entendu le nom à la télévision à propos des barbus aux turbans qui veulent entrainer dans leur mort des milliers de personnes pour une cause perdue. Les gars feraient mieux de déambuler dans les manifestations pour le droits des homosexuels. Au mois là, on gagne du terrain. M'enfin, ce n'est pas le sujet et je ne veux pas m'éterniser dessus. Revenons en à nos blancs moutons, que je compte le nombre de langues que je maîtrise aujourd'hui. Anglais américain qui est ma langue maternelle; français qui a été ma première véritable curiosité au collège; espagnol qui est est la deuxième langue nationale; italien qui me permet de chopper des réductions dans les restaurants tenus par des vrais de vrais expatriés pour faire vendre leurs produits aux Etats Unis; russe car je me suis lancé le défi idiot de comprendre la géopolitique moderne. Et j'ai compris que j'avais plus de chances de faire bouger les choses en déambulant dans une manifestation peace and love pour la reconnaissance des droits homosexuels. Oui ca fait deux fois que j'en parle et que je m'y vois dans mes rêves à scander notre liberté à choisir et à vivre. Peut être sans les barbus avec leurs ceintures d'explosifs; par précaution de ne pas reconstituer un marathon qui s'est déroulé dans le Massachusetts il y a de cela plusieurs années.

Ceux que je ne croiserai pour sûr jamais dans un tel rassemblement populaire, ce sont bien tous ces garçons que je vois à longueur de journée en train de crânement tenter leur chance avec une fille. Souvent ils accostent le même genre de proie; assez mignonne et sans complexes apparents. Celles qui ne portent pas du S ou du XS; délaissées. Celles avec un appareil dentaire; snobées. Celles avec un bec de lièvre ou des tâches de rousseur; mises en quarantaine. Et après il faut s'étonner qu'on est plusieurs à préférer la grâce et la franchise d'une femme à ces goujats sans cervelle? Ca me fait rire. Autant que lorsque l'un d'entre eux tente de me m'amadouer en la jouant pseudo romantique puis bourru dans son jeu médiocre du rentre dedans. Tout ce que je peux lui proposer moi, c'est qu'il rentre .. mais chez lui. Non merci, je ne veux pas être associée à ce genre de mec. Alors oui, je suis bien célibataire sans soucis qui n'assume pas entièrement son homosexualité. Je ne vais pas dans ces manifestations par peur d'être reconnue, qu'une image de moi circule sur les réseaux sociaux et que je me fasse pointer du doigt aussi bien par ma famille que par mes collègues au lycée. Car mon amour pour les langues m'a poussé à suivre une formation pédagogique pour devenir enseignante d'espagnol; et me voilà en charge d'une série de classes auxquelles j'inculque grammaire et expressions à raison de presque trente heures par semaine. En dehors de ca, je mets à disposition mes compétences pour des cours particuliers à toute personne éprouvant des difficultés alors qu'elle a des obligations ou des échéances l'exhortant à gagner en fluidité, en vocabulaire, etc.

Au rayon des contrariétés et des embarras je ne suis moi non plus pas en reste. Il n'y a rien d'évident pour moi à faire semblant d'être comme monsieur et madame tout le monde; à goûter aux mêmes délices qu'une femme de mon âge. Je suis différente et je m'assume mais je ne me sens pas encore prête à prendre le risque de perdre ce qui fait ma joie autour de moi, principalement au coeur de ma famille, à cause de ce que je suis. Alors je prends sur moi et tous les jours j'essaie de profiter de ce que la vie me donne. En classe ce n'est pas plus simple, surtout lorsque je m'apprête à donner cours à la seule classe de troisième que j'ai dans mon planning. Dès que j'entraperçois ceux qui m'attendent, dans le bruit, à travers la porte vitrée, j'appréhende l'heure qui débute à l'instant même. Ce n'est nullement un problème d'autorité puisque mes atouts me permettent de ne pas devoir trop souvent exiger le calme à des adolescents en pleine puberté. Si moi j'ai des atouts, les filles de quinze-seize ans qui sont une dizaine n'en sont pas dépourvues non plus. Je me plais à admirer la beauté des plus attrayantes à mes yeux tout en conservant la bonne tenue de mon cours. Mais je sais que l'avertissement est de rigueur : on peut regarder mais on ne touche pas. Elles sont mineurs et moi majeure, même si je ne suis pas une grand-mère et que seules quelques années nous séparent. Puis, elles n'en ont probablement rien à faire de moi pour se retourner, rire des pitreries réalisées par un garçon qui physiquement les fait tomber comme des mouches au point qu'elles tournent autour de lui et exprimeront au moins une fois d'ici leur graduation qu'il est "craquant"; qu'elles sortiraient bien avec si c'était possible. Je sais combien mes chances sont infimes pour que tous les paramètres jouent en ma faveur. Puis, de toutes façons j'ai déjà de la chance de pouvoir être là et de les avoir alignées pour le plaisir de la vue deux fois par semaine. Admirer la beauté de ces femmes en devenir, ca m'émoustille tout autant et m'emplit de gaieté à chaque fois que je débarque avec mon cartable contenant manuels et CDs audio. J'ai également le ventre noué quand je croise le regard de l'une des plus belles créatures de ma classe, mais l'angoisse se transforme en sensations positives à chaque fois. Apprécier le décor; mater ces faciès et ces épaules dénudées quand la température dépasse les douze degrés; admirer les courbes de celle que j'envoie volontairement au tableau pour corriger ses erreurs ainsi que ma mauvaise appréciation de ses formes sveltes ou généreuses. Sans jamais lever la main; sans jamais émettre la moindre remarque sur leur corps. Je fais un métier exceptionnel. Ca me suffit pour être heureuse. Je ne vois pas ce que je pourrais demander de plus. Seule, mais bien entourée.

pseudo du web + Robbie ; âge + 25 ; prénom + Robbie ; où as tu connu le forum + là-bas ; qu'en penses-tu ? + à part l'orthographe il a l'air bien, sans prise de tête et simple d'utilisation, sans complexités. ; combien de temps penses-tu passer sur le forum + 3/7 ; code à remplir :

Code:

[color=#ff3300]Troian Bellisario [/color]✞ lauren e. hathaway