l'histoire de ton personnage
Je suis né un premier novembre mille neuf cents quatre-vingt-quatorze à Oslo, Norvège. Mes parents, je ne les ai pas connus. Du moins, je les connus pendant un an et six mois. Ce qui n'est pas beaucoup. Je ne les blâme pas. J'aurais aimé qu'ils ne soient jamais allés à la banque, mais ce n'est pas moi qui décide. De toute manière, on ne peut pas changer le passé et ce n'est pas comme si j'avais vécu dans la misère. Bref, mes parents se sont fait tirer dessus pendant qu'une bande de mecs volaient la banque. Auraient-ils pu les épargner ? Oui parce qu'ils m'ont épargné. Ils ont épargné le bébé dans le carrosse. Pourquoi ? J'en sais trop rien. Sérieusement, je devais pleurer comme un bon. Ce qui aurait pu les stressé encore plus. Par conséquent, ils m'auraient tué. Mais ça ne s'est pas passé ainsi. J'imagine que mes parents biologiques préfèrent ça.
Après ça, je fus placer sous la protection de l'enfance. Ces gens ont essayé de me trouver de proche parents à qui me confier. Hélas, il n'y avait qu'une personne âgé, ma grand-mère paternel. Elle n'était pas une personne apte à prendre soin d'un enfant. Ils allèrent devoir me placer dans un orphelinat, mais mes parents avaient fait un testament. Ça disait que j'héritais de tout, mais aussi que s'ils leur arrivaient quelque chose, je devais être confié à deux de leurs amis proches. C'est comme cela qu'ils constatèrent la famille Kalakawa. Je vécu avec eux, à Honolulu, pendant deux mois. Selon la protection de l'enfance, je devais me trouver dans une famille où je ferais partie de cette famille. Je ne pouvais pas rester chez les Kalakawas, car ils n'étaient qu'un attendant qu'ils me trouvent une famille. Ils m'en avaient trouvé une bonne. Je retournai en Norvège. Ceci dit, la famille Kalakawa s'était attaché à moi. Surtout, Marrissa. Ils ont discuté tous ensemble de ce qu'il fallait faire. Ils décidèrent d'entamer les procédures d'adoption. Ils voulaient que je sois de la famille.
Les procédures durèrent trois mois. J'avais alors deux ans quand ils vinrent me chercher chez l'autre famille. Ces derniers étaient heureux de pouvoir me rendre à eux. À ce qu'il parait, je m'étais un peu trop retirer. Je ne voulais rien savoir d'eux. C'était sûrement tout le changement et le fait que je m'étais, moi aussi, attacher aux Kalakawas. Je suis donc retourné vivre à Honolulu. Mes parents adoptifs me laissèrent mon nom de famille jusqu'à mes cinq ans. Je me souviens que je n'avais pas dit un mot sur le chemin du retour à la maison. Marissa avait trouvé ça bizarre. Elle m'acheta une glace, avant de me demander ce qu'il n'allait pas. Je lui dis, en regardant mon cornet, qu'à l'école les gens m'embêtaient. Ils n'arrêtaient pas de dire que je n'étais pas de leur famille, que ce n'était pas mes vrais parents, mes vraies soeurs, etc. Je leur avais répliqué que j'étais de leur famille même si j'étais adopté. Oui, je le savais parce qu'ils ne me l'avaient jamais caché. Mais l'un d'eux me demanda pourquoi je ne portais pas leur nom de famille. Un autre avait rajouté que ça devait être parce qu'ils ne m'aimaient pas pour vrai. La professeur les disputa, mais j'étais resté peiné. Marissa me consola, mais j'allai voir, deux jours plus tard, nos parents et leur demanda pourquoi je ne portais pas le même nom. Après une longue discussion, nous décidâmes de changer mon nom pour Kalakawa.
Mon enfance, par la suite, fût des plus normal. J'ai grandi et je montrai rapidement un intérêt pour la musique. Pas que je ne l'aimais pas avant. Non, je l'adorais. La musique m'avait toujours bercer. Elle savait comment me faire rire, me rendre triste, heureux, etc. Elle me faisait toujours passer par une gamme d'émotions. Je crois que la passion de la musque à toujours couler dans mes veines. Elle avait simplement besoin d'être réveillé. Le réveille s'est passé quand j'avais sept ans. J'avais vu, sur la plage, un homme accorder son violon. Je m'étais rapproché, car j'avais le même à la maison. Un cadeau de ma mère biologique. Il m'aperçut et commença à jouer. À la suite de ce superbe morceau, je lui posai une tonne de questions. Il y répondit et me dis que, si je voulais, il me donnerait des cours de violon. Bien sûr, j'en ai parlé à mes parents. Ils ont accepté. J'ai appris avec lui le violon, le piano et de la lute. Il était plutôt du type classique ce professeur, mais je l'adorais et j'adorais surtout apprendre. Il arrive un temps où l'élève surpasse le maitre. Ce n'est pas arrivé en une année, mais j'y suis arrivé. Il faut dire qu'on apprend plus vite quand on est jeune.
Mon adolescence fût plus troublée. Il faut dire que c'est le moment où on se cherche. On fait des bêtises et tout plein d'autres trucs. Bref, on explore. Ça pour explorer, j'ai exploré. Je suis passé par différent style avant de trouver le mien. Je faisais capoter mes parents aux nombres de choses que j'achetais et que je jetais par la suite. Ce qui les a fais plus capoter c'était mes mauvaises fréquentations. Ouais... Je me suis saoulé à l'âge de treize ans. C'est la police qui m'a ramené à la maison. J'ai eu le droit à un long discourt dont je me foutais à l'époque. C'était le moment de la rébellion. J'ai fini par changer de fréquentation jusqu'à ne plus en avoir, mais j'y reviendrai plus tard. Vers l'âge de quatorze ans, je me suis acheté une guitare sous l'influence d'une de mes amies. On voulait se démarrer un groupe. Rien de méchant. Je trippais en plus. Je sentais que je m'étais trouvé, mais il fallait un ''mais'' dans l'histoire. Cette fille m'avait rendu dingue d'elle, mais je n'étais qu'un simple ami-jouet. Je m'en suis rendu compte quand elle commença à sortir avec le drummer du groupe. Il était le mystère et l'aventure parce qu'il était quelqu'un qui se ramassait toujours dans le pétrin. J'imagine que les filles préfèrent les bad boys. Après ce coup, j'ai tout plaqué. Je ne voulais plus rien savoir du groupe, de la fille ou d'avoir la moindre amitié. Je broyais du noir.
Je n'avais personne vers qui me retourner. Je m'habillais en noir et restais souvent seul. D'ailleurs, je me suis déjà fait du mal. Je me tailladais le sein – ça s'appelle comme ça même pour un gars – gauche. C'était là que j'avais mal, mais je faisais plus sortir ma haine et ma tristesse dans mes chansons. Quand je les relue, elles me donnent des frissons dans le dos. Bref, mes parents n'aimaient du tout ce qui m'arrivait. Ils décidèrent qu'un psychologue était le seul moyen de me sauver. Ils n'avaient pas tort. Ils avaient essayé tant de choses pour n'avoir rien. Le dernier recourt était leur seul espoir. Au départ, les séances furent vides. Je m'obstinais à ne pas parler. La psychologue trouva un moyen par la musique. Je commençai alors à parler. Puis, de fil en aiguille, je me sentais beaucoup mieux. J'allais mieux. Je fis le grand ménage de ma chambre et jetai ce qui n'était pas bon, négatif. À l'exception de mes chansons. Elles étaient noires, mais elles me montraient le parcours que j'avais fait. Puis, je voulais me rappeler que c'était facile de tomber très bas.
Puis, je trouvai finalement mon style vers seize ans. J'allai même me faire percer la lèvre. J'étais redevenue un adolescent des plus normal. J'allais manger, faire de la planche à roulette et simplement reposer avec mes amis. On avait beaucoup de plaisir. Bon, j'ai eu d'autre chute, mais elles étaient, souvent, causés par des filles et j'allais voir la psychologue par la suite. J'allais la voir dès que je sentais que j'allais craquer ou dès que je voyais des parcelles de ce que j'avais été.
J'ai continué mes études, mais je ne savais plus quoi faire quand je les finis. Mes parents me décrivaient comme un genre de zombie. Il faut dire que mes amis étaient déjà sur le marché du travail ou étudiaient à l'université. Moi, je ne savais pas quoi faire de ma vie. C'est alors que j'entendis parler de l'école Juilliard. Bon, j'en ai entendu parlé parce qu'il mentionnait cette université dans un film. Je me suis donc renseigné. Puis, j'ai eu le coup de foudre. Je leur ai envoyé tout ce qui était demandé par la malle.
Je reçue ma réponse quelque mois plus tard. J'étais fou comme un ballait. J'avais peur de l'ouvrir et de découvrir la réponse. Ce fut ma mère qui le fit pour moi. Elle me lu la lettre. J'étais accepté.
Je suis donc partie pour New York. J'allais surprendre mes soeurs en débarquant et leur annonçant la nouvelle.