l'histoire de ton personnage
Je suis née le 17 Septembre 1997, d’une mère bipolaire avec prédisposition au suicide et d’un père cramé à l’alcool du matin au soir. J’ai grandi dans un monde réservé aux adultes, dans une partie de New-York oublié par les flics. J’ai grandi dans un appartement pourri, où les cafards étaient nos amis. Un trois pièces miteux, où les bouteilles d’alcool et les raille de crack décorait la baraque. Je partageais une chambre aussi petite qu’un placard avec mon frère, mais y s’en battais les c******. Quand j’ai eu 5 ans ma mère à pris une boîte de somnifère, ont s’est couchée dans le lit et ont s’est endormie. C’était comme dans de la ouate. Je me suis réveillée à l’hôpital. Elle avait foutu des somnifères dans mon verre. J’lui en veux elle était malade, mais depuis elle est internée dans un asile de fous. Mon connard de paternel à très vite trouver une autre pauvre conne illuminée. Ont avait quasiment jamais rien dans le frigo, ma belle-mère était pas foutue de faire à bouffé. Mais ça y s’en avais rien à b******, tout ce qui comptais c’était leur vie de merde. Tout notre fric passait pour leur alcool ou le crack de madame. Aucun des deux ne bossais, belle-maman fessait le trottoir des fois. Papa s’en foutais royalement, je pense même qu’il ne le remarquait pas vraiment. Nan, trop occupé à ma fracasser le crane dans la table du salon parce que sa foutue bière de merde était pas assez fraîche.
Ça à pas toujours été ainsi, bon mon paternel n’a jamais été quelqu’un de recommandé. Mais ma mère, elle c’était quelqu’un de bien avant. Avant qu’elle rencontre mon père, elle était étudiante en fac d’histoire passionnée par la mythologie grecque. C’était le genre intello, limite coincée. Et puis elle a rencontré mon père … Adieux la fac, bonjour grossesse. Elle est très vite tombée enceinte de mon frère, elle ne se droguait pas à ce moment là. C’est arrivée bien après, en fait je pense qu’elle a sombré quand elle a vu a quel point mon salopard de père ne valais rien. Mais ses bien connu les filles bien tombe toujours amoureuse des mauvais garçons. Heureusement je n’en suis pas une, de fille bien.
Vous comprendrez facilement comment nous en sommes venu a volé, triché, arnaqué aussi. A l’âge de 7 ans je traînais déjà avec les gangs du coin, et à 12 j’en fessais partie. J’ai rencontré mon mec à 14 ballets, il fessait partie de même gang et avais 19 piges. Ça été le coup de foudre, après ont ses plus quitté. En même temps je n’ai pas été cherché bien loin, c’était le meilleur ami de mon frère. Mon frère, aujourd’hui à la tête de notre gang avec Saül.
Arès, est un peu tout mon univers, nous sommes fusionnels et inséparable. Même la maison de correction n’a jamais réussi à nous séparé. Saül, c’est mon homme, mon tout. Sans lui je ne suis rien, ont est tout l’un pour l’autre et rien l’un sans l’autre. C’est pour la vie quoi … C’est ma drogue, mon crack, ma propre marque d’héroïne.
Après ce qui a de bien dans l’amour, c’est qu’il n’y a aucunes règles. Aucuns schémas à suivre. Vous voulez une saloperie d’exemple !? Moi et Saül. C’est un amour peu commun, mais qui nous ressemble bien. Un soir un ma trompé avec une de ses P**** qui passe sa vie dans les soirées. Un bourge sans cervelle qui fantasmait sur les mecs de la rue. Grosse erreur, j’ai pas vraiment de limite et la vengeance est un plat qui se mange froids. J’ai préféré prendre mon temps, et j’ai frappé où ça fait mal. J’ai passé la soirée avec son frère, j’ai fait de très belles photos et je lui aie envoyé. Depuis c’est devenu une sorte de petit jeu malsain, de qui fera le plus de mal a l’autre. Notre amour et fort, unique en son genre, destructeur, dévastateur, mais il se veut entier et sincère. Ont s’aime vraiment, et ont ne se quittera jamais malgré tout ce qu’on peut faire. C’est lui et juste lui …
Le dernier jour de cours, le dirlo m’appel dans son bureau. Y m’dit Athéna, ma grande, j’ai une bonne nouvelle pour toi. Tu as une bourse au l’université de New-York, une bourse en histoire et langue morte. Je ne suis pas ma mère … J’ai un cerveau, qui fonctionne plutôt pas mal. D’après les inspecteurs y fonctionne d’ailleurs vachement mieux que la moyenne. J’ai réussi le lycée sans ouvrir un livre, ni prendre de note et en suivant les cours un jour semaine. Mon truc a moi ses la rue, je suis dealeuse pas étudiante. Pourtant quand Saül et Arès on apprit ça, j’avais plus le choix.