âge + 21 ans ; personnalité + qualités et défauts ; rusée, malicieuse, joueuse, obstinée, ambitieuse, indépendante, fière, peste, caractérielle, sensible, dure, auto-destructrice, traumatisé, impulsive, colérique, enflammée, revancharde, sadique signes particulier + tatouage ou autre ; tatouage à l'avant-bras, un dragon symbole de la puissance des Malkova depuis des générations civilité + madame ; orientation sexuelle + bisexuelle ; métier exercé + ici ; boxe poids plume pour arrondir les fins de mois, danseuse de rue, mais rêve secrètement d'intégrer une école de police pour être envoyée en mission sur le réseau russe afin de tuer le parrain de la mafia qui a commandité le meurtre de ses parents ( et le sien )  études + prends des cours de langues et travaille son anglais pour préparer son concours d'entrer dans une école de police ( elle ne l'a pas encore dit à son tuteur légal qui est policier ) ; description physique + belle brune élancée à la peau aussi pâle que la neige, des yeux marrons foudroyants et un regard glaçant pour cacher le ravage intérieur qui dévaste son âme lorsqu'elle pense à ses défunts parents ; groupe choisi + les mars ; personnalité choisie + Lily Collins ;

Le père de Kassy travaillait pour la mafia, mais ça a mal tourné, ce qui a conduit à la mort regrettable des deux parents de Kassy qui a vécu cet homicide volontaire de l'intérieur, se trouvant elle-même dans la voiture. Elle en est ressortie complètement traumatisée.

Elle a vécu toute sa vie en Russie, dans la capitale, cela fait seulement un mois et demi qu'elle vit à New York. Kassy a donc un accent russe - très séduisant -

Kassy est bipolaire, elle prend des médicaments, mais parfois, pour ressentir des émotions autre que la douleur, elle cesse de les prendre. Kassy se transforme en fille complètement déjantée et séductrice qui n'a pas froid aux yeux. Cependant, il y a le revers de la médaille. En effet, elle peut aussi se montrer dépressive et suicidaire.

Kassy n'a plus de famille, elle était fille unique et ses parents sont morts. Elle n'a que son tuteur légal : Hayden. Il a promis de toujours la protéger et même si elle le rejette parfois, elle sait qu'elle a besoin de lui, qu'elle n'a que lui et serait perdu sans son soutien.

Kassy souhaite se venger plus que tout au monde. C'est ce qui nourrit son projet d'intégrer une école de police. Kassy dispose de comptes en banque dotés de millions de dollars. Néanmoins tout ses comptes sont gelés le temps qu'elle ne rentrera pas en Russie. Du coup, elle doit vivre par elle-même en attendant.

Kassy fait de la danse depuis toujours, sa mère l'avait inscrite très jeune dans des concours télévisés. Elle commençait à se faire remarquer, mais son père a trouvé que cela portait préjudice à son image alors il l'a fait arrêter. A la place, il l'a mise à des cours de boxe. Cela donnait une image plus dure de la famille que de la danse de rue. Aujourd'hui, Kassy fait ce qu'elle aime et les gens s'arrête souvent pour la regarder bouger son corps avec une harmonie parfaite sur les rythmes endiablées de musique en tous genres. Souvent, les admirateurs laissent un billet.

Si Kassy n'était pas autant obnubilée par sa vengeance, elle s'inscrirait dans une école de danse pour avoir un vrai diplôme et faire une carrière dans des spectacles internationaux.

Kassy adore la sensation d'avoir une arme entre les mains, c'est pourquoi accompagner Hayden au stand de tire est toujours un plaisir. C'est une des rares choses qui dispose un sourire sincère sur son doux visage. Cependant, il en faudra beaucoup plus qu'elle retrouve un jour son innoncence.

Vous savez, avant, je n'étais pas cette peste caractérielle et égoïste que je suis actuellement. Avant, j'habitais en Russie, j'étais la fille d'un sénateur puissant, trop puissant pour son bien... Il travaillait avec un parrain de la mafia. Or, lorsqu'il a voulu arrêter et balancer tout le réseau, un homme qu'il pensait de confiance, l'a trahi. Mon père a voulu nous protéger, ma mère et moi, il a pris trois billets d'avion direction New York, mais je suis arrivée toute seule à l'aéroport, complètement traumatisée, vomissant dans le hall toutes mes tripes.


Alors qu'on était dans la voiture mon père a démarré au quart de tour. Il ne faisait pas confiance au chauffeur, il a donc pris le volant. Cependant, les freins de sa mercédès ont été trafiqué et lorsque l'on a du passer le virage de la falaise, mon père n'a pas pu freiner, la voiture à décoller pour se diriger directement dans le ravin. Moi, paniquée en voyant la mort en face j'ai hurlé en cognant si fort contre ma portière que j'ai pu sortir juste avant que la voiture ne s'envole dans le ravin. L'image restera à jamais gravé dans ma mémoire. Les cris de mes parents faisant échos aux miens. En larmes, les coudes et les genoux écorchés, je me fichais totalement de ma douleur, je courais jusqu'au rebord de la falaise, vomissant ma douleur dans un vide immense, je voyais la taule complètement enfoncé dans les rochers, des torrents de larmes s'écoulant sur mes joues, la gorge noué difficilement, je n'arrivais sérieusement plus à respirer. Puis continuant de vomir, mon ventre me faisait souffrir encore plus en se contractant. Après un temps qui m'échappait royalement, j'ai marché, marché sans m'arrêter jusqu'à l'aéroport, serrant mon billet si fort entre mes mains que celles-ci tremblaient. Complètement en état de choc, je ne comprends même pas comment j'ai pu me rendre à New York. Néanmoins, un homme m'attendait. Il était grand et brun et son regard ne me quittait pas. Craignant que c'était encore un homme qui tentait de m'assassiner, je me suis mise à hurler. Tous les regards se tournaient vers moi et lui du coup. Très vite il s'approcha " Arrêtez de hurler, je suis venu vous aider. Je suis de la police. " affirma-t-il alors d'une voix plus forte en montrant sa plaque à la vue de tous en regardant la foule qui s'était amassée autour de nous, la dissipant. Mon coeur ne parvenait plus à s'arrêter de battre à toute allure, mais au moins je ne criais plus. Son regard n'avait rien à voir avec celui des tueurs froids que j'avais imaginé. J'avais l'impression de devenir folle. Déjà que j'étais instable, du fait que je suis bipolaire. Mais alors avec toutes ces aventures j'étais sûre que mon état n'allait qu'empirer. Il me fallait juste un peu de temps pour faire le deuil de mes parents. Les larmes remontaient à mes yeux rien que d'y penser tendis que ma gorge se nouait. " Putain Kassy, t'es une Malkova, tu ne DOIS PAS pleurer! " m'ordonnais-je mentalement en mordant férocement ma lèvre inférieure tout en me forçant à contenir mes larmes traîtresses, c'était comme cela qu'on m'avait éduqué, à la dure.


Mon père était un russe très sombre qui m'avait mis le monde à mes pieds, cédant au moindre de mes caprices. Néanmoins, lorsque je le décevais ou que je me montrais trop faible, il me battait de sa paume dure et calleuse pour me remettre les idées en place. Ma mère était plus douce. Par son passé de prostituée, elle m'a toujours appris à faire profil bas si je voulais m'en sortir et toujours séduire les hommes riches telles que les politiciens. Elle avait en quelque sorte fait de moi une traînée de luxe.


Aujourd'hui, je n'avais plus mes deux repères. Etant fille unique, je me retrouvais toute seule dans un pays étranger où je ne connaissais personne. Enfin presque, ce policier dont je vous ai parlé m'a affirmé qu'il connaissait mes parents. Ceux-ci leur avaient demandé de veiller sur moi. " Lâchez-moi, je sais très bien me débrouiller toute seule! " avais-je crié détestant qu'on m'infantilise, entre mes dents en essayant de me défaire de son emprise tendis qu'il me sortait de l'aéroport. Mon poignet était devenu rouge sous sa poigne d'acier, mon regard d'une férocité sans nom se planta avec rage dans le sien tendis qu'un court silence plana entre nous, je m'approchais de lui " Vous me faites plus de mal que de bien... " déclarais-je alors d'une voix haché en transversant toute ma haine dans ces simples mots, comme pour essayer de l'enlever de moi. Ce qui ne fonctionna pas, je ne me sentais pas mieux. C'était même pire, en faisant volte-face, les larmes s'étaient de nouveau pointées. Comme si simplement parlé les avait ravivé. Rha! Je n'allais jamais m'en sortir! J'avais tellement besoin d'aide, mais j'étais trop fière. C'est à peine si je parlais anglais, mon accent devait être plus que prononcé à cette époque. Néanmoins, cette même nuit, le policier en question m'a suivi en voiture tendis que je errai comme une SDF sous les ponts à la recherche d'un abris. Le temps était clément par rapport à mon pays natal, alors le froid environnant je ne le sentais presque pas malgré les trous dans mes vêtements dû à l'accident. Cependant, clairement, je n'avais nulle part où aller, je ne savais même pas quoi faire pour m'en sortir. Putain! Je m'arrêtais tendis que sa voiture se stationna à mon côté, à quelques mètres. Jurant en russe en me maudissant, j'entendis la portière de la porte côté passager s'ouvrir, je courrais m'engouffrer dans son véhicule. La sensation était tellement horrible, j'avais l'impression de revivre l'accident en étant simplement sur un simple siège, je dû en sortir immédiatement après. Alors que je courrais m'asseoir contre le mur d'une ruelle, la tête dans mes bras croisés, je sentis sa présence s'asseoir à mes côtés. Naturellement, il passa un bras autour de mon petit corps et pour la première fois, je me blottissais contre quelqu'un, me laissant complètement aller. Je lui expliquais mon histoire en un anglais imparfait, parlant sûrement trop vite, ajoutant des mots de l'est lorsque je n'avais pas le vocabulaire. Cette nuit là, il veilla sur moi. Il m'a écouté, caressé les cheveux comme l'aurait fait un père et je me suis endormis dans ses bras comme une fillette. Comme lorsque je serrais mon doudou la nuit étant enfant lorsque j'avais peur. Mes parents me frappant lorsque je voulais dormir dans leur lit, je n'avais d'autres choix.


Maintenant, cela fait près d'un mois et demi que je suis à New York, j'ai un toit, je suis des cours de langue dans lesquels je suis excellente. Au point que j'apprends à présent, l'espagnol et le français pour le plaisir. Ma terre natal me manque terriblement, mais je crains que la mafia ne me retrouve si je retourne sur leur territoire, alors je reste aux Etats-Unis. Ici, je découvre une nouvelle vie, plus libre, plus porté sur l'amusement, et cela me fait du bien. Néanmoins, malgré mon protecteur, je me sens très seule parce que je n'ai plus personne et que mes parents me manquent affreusement. Et dans ces cas-là, je sors toute la nuit boire et coucher pour oublier. Filles ou garçons cela n'a pas d'importance du moment que leur présence m'apporte du réconfort. Néanmoins, en journée, je me transforme en une personne froide, égoïste, qui cache sa souffrance derrière un caractère indomptable. Mais c'est parce que j'ai trop souffert, mon éducation ajouté aux dernières épreuves ont rendu mon cas désespéré. Parfois, je me laisse un peu aller à la dérive et j'arrête de prendre mes médicaments... ma bipolarité prend alors le dessus et je ne vous raconte pas les dommages... Ma personnalité change du tout au tout, je me montre joueuse, séductrice et prête à tout, ou alors je deviens inconsciente, dépressive et presque suicidaire. C'est très dangereux en fait, mais c'est dans ces moments-là où je me sens la plus en vie, c'est dans ces moments-là où je ressens autre chose qu'une douleur poignante qui m'oppresse. Cependant, Hayden m'enveut après et il m'engueule... Même si je lui suis reconnaissante de sa protection, il a tendance à me surprotéger et ça m'énerve, j'ai 21 ans merde! Mais je dois être honnête, s'il venait à m'abandonner, je n'aurais vraiment plus personne et je sais que je m'auto-détruirai. Je suis une bombe à retardement et Hayden en tient les quelques fils.

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[color=#ff3300]Lily Collins [/color]✞ Kassy Malkova