rpg sur la ville de new-york
 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Hey bienvenue à toi Invité et merci de ton inscription.
Nous avons besoins d'homme sur le forum, merci de privilégier les rôles masculins s'il vous plaît
Hello les poussins, pensez à venir vous recensez si vous souhaitez rester parmis-nous ICIII
Chers futurs membres, nous ne voulons pas de membres kleenex donc si vous ne souhaitez vraiment pas vous investir à fond ne venez pas Wink
Le Deal du moment :
Réassort du coffret Pokémon 151 ...
Voir le deal

Partagez
 

 MATZ + on m'a dit qu'elle était morte dans une cabine de bronzage.

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
Aller à la page : 1, 2  Suivant
AuteurMessage
Anonymous
Invité
Invité



MATZ + on m'a dit qu'elle était morte dans une cabine de bronzage. || Sam 14 Mai - 13:06

Matz von Helvetti

Qui-es-tu ?
âge + vingt-quatre ans, la jeunesse dorée ; personnalité + décomplexé, la honte t'es étrangère, tu n'es pas pudique, le quand-dira-t-on t'indiffère. + fêtard, en france, tu sortais tous les soirs, te couchais à l'heure où se levaient les travailleurs, cramais l'équivalent d'un mois de salaire en une semaine. en boissons, en filles, en laissez-passer, en vacances, en bonheur éphémère. + manipulateur, tu sais te faire oreille attentive ou épaule reposante lorsque le besoin s'en fait sentir. t'as la capacité de deviner les autres, de comprendre leurs motivations profondes et leurs désirs inavoués. tu parviens toujours à tes fins, parce que t'es un menteur. + souriant, rien ne semble pouvoir t'atteindre, la provocation est sans effet sur toi, tu gardes toujours ton calme. Les mots des autres glissent sur ta peau comme de l'eau sur un rocher. ça te passe largement au dessus.  + je m'en foutiste, éclater ta voiture dans un arbre, tâcher ta chemise dior d'un coup de pinceau maladroit, perdre ton portable dernier cri pour la troisième fois ce mois-ci, recevoir le coup de poing d'un saoulard que tu provoques depuis une bonne demi-heure, rien ne semble pouvoir t'inquiéter, rien ne semble capable de chasser ce rictus qui étire tes lèvres. +  superficiel, ton existence est une abysse de paraître. Le luxe suinte par tous les pores de ta peau, ton air altier, ta démarche conquérante. t'es toujours griffé de la tête aux pieds. Fasion-addicte, t'as un goût prononcé pour le beau, ton dernier caprice est une voiture de sport italienne importée de Milan. + patient, tu peux attendre indéfiniment avant de tendre un piège + capricieux, les médias en joue beaucoup, ces moments où personne n'a compris ce qui c'est passé dans ta tête, quand tu tournes les talons de façon imprévisibles, que tu plantes tout le monde parce que finalement tu as mieux à faire. Tu t'écoute beaucoup trop. + non-violent, les seuls coups de poings que t'ai donné était pour ton cousin, ou ton frère lors de jeux plus ou moins pacifiques. Mais la violence n'est pas un outil pour Matz, c'est un fâcheux désagrément que lui impose parfois la vie + indépendant, il n'a pas besoind es autres pour être heureux, il a apprit jeune à s'occuper seul, et à prendre ses décisions. Il ne se laisse pas facilement conseiller, puisqu'il n'écoute jamais. + drôle, on ne peut pas lui enlever ça, un sens de l'humour parfois incompris et dont les débordements sont fréquents. Matz a tendance à faire les choses en priorités parce qu'il trouve ça amusant. + bordélique + impossible à vexer + charismatique + moqueur + égocentrique + pour lui rien n'est grave + léger + vicieux + toujours en retard + créatif + décalé + charmeur (...)signes particulier + Le tatouage est une de tes passions, t'as conçu, et dessiné tous les tatouages qui ornent ta peau. T'as commencé par celui présent sur ta poitrine à l'âge de dix-sept ans, c'est la première fois qu'on a entendu parler de toi dans les journaux. Ta mère t'a mis la volée de ta vie, et toi t'as pas regretté, t'as même pas bronché. Par la suite t'as évidemment continué, tes bras, et ton dos sont maintenant marqué à l'encre indélébile, et tu n'es toujours pas à cours d'idées. Y'a également cette cicatrice qu'on remarque moins, derrière ton oreille droite. C'est Elliott Levinson qui, de rage t'as jeté sa chaussure au visage, talon aiguille à l'appuie. ça t'a valu deux points de sutures et un beau souvenir... t'as toujours pas compris qu'il ne faut pas jouer avec le feu. Ta connerie tiens aussi, mais ça c'est difficile de le rater, une gueule plus grande que l'Alaska, qui ne passe pas les portes. ; civilité + Monsieur von Helvetti, le fils à scandale, qui saute à cloche pied sur les traces de sa mère, qui salit sa notoriété par ennui. ; orientation sexuelle + Les étiquettes ça gratte, t'aime les fortes têtes, la verve brûlante, piquante, t'aime qu'on te résiste. T'aime qu'on ose, t'aime bouleverser les codes, t'es un joueur, un mesquin, un connard. Mais t'es aussi de ceux qui cèdent aux facilités des croqueuses d'or, qui s'en entoure comme pour égayer le paysage, qui s'en pare comme de bijoux ou d'objets de luxe décoratif. T'aime beaucoup ton nombril aussi ; métier exercé + Jet-setter professionnel, rentier depuis tes 22 ans, mannequin quand ça te chante. ; études + T'as obtenu ton diplôme de gestion à l'université de Columbia l'année dernière. Un article prétend que tu as payé pour l'obtenir. La vérité, il n'y a que toi qui la connaisse ; description physique + Matz c'est la force tranquille. Matz c'est le grand blond d'un mètre quatre-vingt-sept, que les années de natation, de judo et de basket-ball ont sculté. Matz il fait a pas de régime particulier, il mange comme un goinfre et il prend pas un gramme. Il vaux mieux l'avoir en photo qu'à table comme on dit. Matz c'est le sourire imperturbable qui trône sur les lèvres, pourtant lui il s'assure toujours qu'on le voit arriver de loin, avec ses tatouages et ses larges épaules. Matz il prend pas les transports en commun pour trois raisons. D'abord c'est trop lent, ensuite c'est sale, et en plus c'est inconfortable; dans le sens que Matz dans un train, faut qu'il fasse tetris pour s'asseoir. Le suédois ne voyage qu'en première classe, le moins possible collé à la populace. ; groupe choisi + Les Tagadas ; personnalité choisie + Mikkel Jensen ;

anecdotes

Jet-set (« Apparue dans les années 1950, l'expression jet-set ou jet society désigne la catégorie sociale d'une élite dont la principale occupation est de faire la fête dans des endroits qui lui sont réservés. ») + Von Helvetti, pire qu'une maladie vénérienne, ça contamine tout. Von Helvetti sur les chèques à 6 chiffres, Von Helvetti écrit en lettre d'or sur les cartons de réservations des restaurants les plus huppés, Von Helvetti le scandale sur papier glacé, Von Helvetti comme la compagnie d'hôtel de luxe dirigée par ton père, et son père avant lui. Von Helvetti comme Irene von Helvetti, la mannequin/actrice monégasque de renom qui t'a mis au monde, la princesse en Jimmy Choo, qui pose pour Dior ou pour Chanel. La carriériste qui ne jure que par le paraître, la verve assassine, la critique toujours au bord de ses lèvres refaites. Von Helvetti, c'est Suédois d'origine, mais ça ne s'arrête malheureusement pas aux frontières.

Cî-pieute Cerbère + Matz a récemment fait l'acquisition d'un spacieux penthouse au cœur de Manhatten où il habite en collocation avec son petit frère. Des six chambres disponibles, il n'en reste plus que quatre puisqu'il a transformé la première en dressing géant (voilà ce qui arrive quand on a plus de fringues que Madonna), et la seconde en atelier d'art qui empeste la peinture et le joint. Ce penthouse, c'est son entre, et pourtant, il n'y est presque jamais, préférant courir l'Upper East Side à la recherche d'un nouveau caprice à assouvir.  

T'appelles le serveur presque en le sifflant.« Un clos d'Ambonnay de 1998. Qu'on nous le serve vite, nous fêtons quelque chose. » J-E lève un sourcil amusé « Quel genre de chose ? » « Je viens d'acquérir une villa, à Bali. C'est à ça que nous allons trinquer. souris-tu en te rasseyant confortablement dans ta chaise. » + Matz il aime bien boire, north man you know, mais image pas que tu lui feras boire ton whisky corrosif là. C'est un fin gourmet, un amateur de bonne cuisine, surtout française, il lui suffit de prononcer son nom de famille au téléphone pour se voir réserver une table dans un des établissements les plus huppés. Il connait également dans le détail, un nombre de recette impressionnant, dans la théorie tout du moins. Parce que dès l'instant où il faut passer à la pratique, les choses se gâtent - comme on dit, entre un mauvais cuisinier et un empoisonneur, il n'y a qu'une différence d'intention. Matz c'est le pire cuisinier des états-unis, au bas mot.

« Une tornade aurait fait moins de dégâts ! » + Si le chaos devait changer de prénom, on pourrait lui donner celui de Matz. En effet, le suédois a un réel problème avec l'ordre, et il n'a jamais mis de mot la dessus, mais il faut croire que ça l'angoisse quand tout est trop net et rangé. Trop carré, trop lisse, tiré à quatre épingles. Alors Matz il déclasse, il tire, il vire, il touche à tout, il déplace, il refait à sa sauce. Ne le faites jamais attendre seul dans votre logement, ou pire, dans votre bureau, parce qu'à votre retour, vous risquez de ne plus rien retrouver. C'est maladif, et inconscient.

Weed at funerals + La cigarette de Matz, c'est comme son sixième doigts et le cancer du poumon une promesse d'avenir. Il a toujours une clope au bec, peu importe la marque, c'est un tic. Et dans sa boîte à cigarette, on trouve aussi des joints, qu'il prend le soin de rouler lui-même (il a provoqué un scandale en faisant ça dans son assiette au restaurant, les photos font leur apparition chaque fois qu'on le mentionne dans un fait divers.) Il a commencé à prendre de la coke quand il avait seize ans, avec son cousin J-E pendant une soirée mémorable à Bali qui a duré quatre jours. Il a trouvé ça super drôle. Il en a reprit occasionnellement, par jeu sans que le manque ne s'installe. Puis il a complètement arrêté vers l'âge de vingt-deux ans, quand ses grands parents sont décédés dans un crash aériens. Il était planqué derrière ses lunettes de soleil et complètement défoncé aux funérailles. Et il est tombé de sa chaise quand il a reçut le testament de son grand-père. C'est à Matz qu'est revenu la quasi totalité de ses biens.

Le flegme à la suédoise + S'il y a bien une chose qui amuse Matz, c'est la colère des autres, leur incapacité à se contrôler, à se retenir, quand lui le fait avec un naturel désarmant. C'est réellement comme si leurs mots et leur hurlements lui glissaient dessus sans le toucher. Au pire, ils lui tire un éclat de rire. Matz n'a jamais levé la main sur personne, ça ne lui vient tout simplement pas. Ceinturer Elliott et la soulever de terre pour l'empêcher de refaire le portrait de Betty, oui. Jeter son petit frère la tête la première dans le fleuve Potomac, oui. Pousser son cousin à refaire la dentition d'un type qu'il a lui même préalablement provoqué, oui. Mais s'y coller en personne ? certainement pas. Matz il assène à qui veut bien l'écouter, que la violence est l'arme de ceux qui n'ont rien à dire.

I have no idea why these bastards don't like me + Pendant ses études à l'université de Columbia, Matz avait, entre-autre chose, la réputation d'être un voleur de meuf. Il n'était dailleurs pas rare de le voir passer en courant, poursuivit par deux ou trois types enragés, qui hurlaient tous que s'il le rattrapait, ils allaient le castrer. Heureusement pour lui, Matz malgré ses excès, a de véritables poumons de sportif.

We don't need no education + Il a pratiqué de nombreuses disciplines sportives au cours de sa vie, comme le ski, la natation, le judo, l'équitation, et le basket-ball, qu'il affectionne tout particulièrement. Sa mère met également tout mis en œuvre pour qu'il parle couramment plusieurs langues. En plus du français et du suédois qu'il acquit dès l'enfance, il étudie notamment l'anglais, l'italien, et le mandarin. Le suédois fait connaissance avec l'art italien par le biais d'un voyage en Italie quand il a quinze ans. Il y développe au fil de ses visites à Rome, à Florence, et à Milan, une véritable passion la peinture, le dessin et la mode. Il met un point d'honneur à bien s'habiller, il a dans son agenda plusieurs numéros privés de figures dans le monde de la mode qu'il appelle régulièrement pour des commandes. Vers l'âge de dix-sept ans, Matz commence à s'intéresser à l'art du tatouage, il se fait tatouer une première fois sur le torse à dix-sept ans. A l'époque il met déjà un soin tout particulier à l'élaboration des motifs du tatouage. Mais ce n'est qu'après des vacances en Polynésie avec son cousin - pour fêter leur admission commune à l'université de Columbia - que Matz fait connaissance avec le berceau de la culture du tatouage et se prend de passion pour elle. En parallèle il se fait remarquer aux côtés de sa mère et entame une ébauche de carrière de mannequin qui attire aussitôt l'attention des paparazzi.

Jetsetter + Le suédois a fait des débuts très prometteurs dans le milieu du mannequinat. Les magazines se sont rapidement mis à parler de Matz comme de la relève du clan von Helvetti. Le fils prodigue capable de mener de front ses études à l'université de Columbia, et ses débuts lors de prestigieux défilés. Il n'en est rien, Matz n'a vraiment rien de l'étudiant modèle, et on raconte même qu'il a payé pour obtenir son diplôme. Rien d'étonnant donc, à ce qu'il finisse par traiter son ébauche de carrière avec la même inconstance, entachant du même coup l'image de sa mère. Les flashs crépitant, les interviews, les régimes et les paparazzi, tout ça a finit par le fatiguer, et le suédois c'est alors alors mis à briller par son absence, son je m'en foutisme, et son impertinence. Planter Anne Leibovitz à une séance photo, se barrer en plein milieu d'un défilé pour Hermès, se débrouiller pour piéger Alvar, et qu'il se retrouve obligé de répondre à tes interviews. En réalité ceux sont ses frasques et son nom de famille qui sont à l'origine de sa célébrité naissante, pas un quelconque talent. Au grand damn de sa mère, qui s'arrache les cheveux de rage à chaque fois qu'elle ouvre un magazine qui mentionne son crétin de fils.

qui es-tu derrière l'écran ?
pseudo + begin ; âge + majeure et vacciné  MATZ + on m'a dit qu'elle était morte dans une cabine de bronzage. 3510607274  ; prénom +  MATZ + on m'a dit qu'elle était morte dans une cabine de bronzage. 4133257492  ; où as tu connu le forum + topsite ; qu'en penses-tu ? +  MATZ + on m'a dit qu'elle était morte dans une cabine de bronzage. 3821402855  MATZ + on m'a dit qu'elle était morte dans une cabine de bronzage. 3821402855  ; combien de temps penses-tu passé sur le forum + 5/7 ; code à remplir :
Code:
[color=#ff3300]Mikkel Jensen [/color]✞ matz von helvetti
[/i][/i]


Dernière édition par Matz von Helvetti le Jeu 19 Mai - 13:21, édité 17 fois
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité



Re: MATZ + on m'a dit qu'elle était morte dans une cabine de bronzage. || Sam 14 Mai - 13:07

Sale Engeance


Saint-Tropez (France)six ans. T'es dans une Audi TT noire qui file à deux cents sur l'autoroute en direction des plages de Pampelonne. T'as six ans, mais tu portes déjà sur le monde, un regard plein de jugement, désabusé avant l'âge, tu fixes le paysage qui défile à vive allure sans le voir. A tes côtés, Irene von Helvetti, alias ta mère et mannequin de renom, se cramponne à son téléphone comme si sa vie en dépendait. Elle balance des ordres à ses subalternes avec le débit propre aux mitraillettes. Mais tu l'entends même plus, tout comme tu ne sens plus l'odeur des cigarettes que la star allume les unes à la suite des autres. Il ne reste rien des ses grossesses passées, et on ne dirait pas qu'Alvar vient de fêter ses un an. Sa peau dorée de jet-setteuse mise en valeur dans une robe Burberry, ses pieds délicats engoncées dans une paire de talon Prada, et sa voix suave qui s'élève dans l'habitacle après qu'elle ait raccroché avec son agent. « Tu te tiendras correctement, et tu ne mettras pas de sable dans le Chablis, est-ce que tu m'as comp... Matz, mon chéri, qu'est-ce que tu as fais de tes chaussures ? » tu te tournes vers elle, et le vent qui s'engouffre par la fenêtre ouverte fait voleter tes boucles blondes. Les deux saphirs de ta mère se plissent tandis que ton sourire s'élargit, t'es parfaitement indifférent à ses colères : elle ne t'impressionne pas du tout. « Elles me faisaient mal aux pieds. Je les ai jetées par la fenêtre. » déclares-tu avec un aplomb qui  jure terriblement avec ton visage juvénile. Irene, te retourne un regard plein de mépris, t'agrippe par l'épaule pour te rapprocher d'elle par la force et persiffle à quelques centimètres de ton visage. « Écoute-moi bien, mon garçon. Ce casting est très important pour moi. Je ne voulais pas t'amener mais mon agenda étant ce qu'il est, je n'ai pas eu le choix. Ne t'avises pas de me faire honte ou il se pourrait que tu passes le prochain mois enfermé dans ta chambre d'hôtel, est-ce clair ? » tu sais qu'elle ne plaisante pas, pourtant ton expression demeure parfaitement impassible et tu hausses les épaules. Cette lueur presque vicieuse dans le fond de tes iris. Irene te relâche en tirant sur sa cigarette, et t’enjoins sèchement de défroisser ta chemise, ce que tu fais en tournant le regard vers la vitre. Vous ne vous êtes jamais vraiment compris, jamais vraiment aimés.

Ton enfance est marquée par les déménagements répétitifs et la solitude qui en découle. Ta sœur, ton frère et toi suivez votre mère dans ses déplacements puisqu'elle n'entend freiner sa carrière de mannequin/actrice pour rien au monde. Tu grandis dans les coulisses de la gloire de ta mère. Traîné de castings en shootings dès ton plus jeune âge. Tu t'ennuies souvent, et il n'y a jamais d'enfants de ton âge. De toute façon, tu n'aurais rien à leur dire.

Milan (Italie)quinze ans. C'est  le temps de l'adolescence. Le temps des premiers joints aussi, le temps de l'émancipation progressive alors que, faux-papiers dissimulés dans la poche intérieur de ta veste, tu te rends à tes premières soirées, privées biensur. T'as quinze ans quand tu rencontres Cosimo di Sanseveri. Tu t'es fais happer par cet homme plus âgé que toi de quatre ans. Vous appartenez à la même sphère mais Cosimo n'est pas comme les autres fils-de que tu croises. C'est le temps des première pipes dans les toilettes, l'heure d'une confrontation plus brutale et savoureuse avec la vie. Le goût de l'alcool et les caresses mortelles des drogues. C'est à cette époque, et sous son influence que tu t'es écarté des crépitements incessant des appareils photo dirigés vers ta mère, pour te rapprocher de lui. Il t'a instruit du pouvoir de l'argent, t'a longuement expliqué comment fonctionnait votre monde, et pourquoi. Cosimo t'a également dit, que rien n'était important. Le jeune italien remettait tout en cause, toutes les normes, il n'y a pas de moral, il n'y a que des moralités, sifflait-il en souriant. Le problème avec Cosimo, c'est qu'il te donnait l'impression qu'on te forçais à vivre les yeux fermés.

Londres (Angleterre)dix-sept ans. Énième repas chez les Windsor. Famille d'ascendance royale, fréquemment fréquentée par les Von Helvetti & Roseburry (riche famille australienne dont la matriarche est une amie d'enfance de votre mère). Irene pérorent en chœur avec Kate Roseburry, mais tu ne leur prêtes aucune attention. T'as terriblement envie de t'allumer un joint, mais tu ne peux qu'en rêver, puisque le repas qui t'attend risque de durer des heures. Tu fais semblant d'écouter Betty Roseburry pinailler à propos du manoir. « Famille royale tu parles, il tombe en ruine ce bâtiment, il faudrait le raser et le reconstr... MAIS AIE ! Juno, espèce de teigne ! » l'intervention de sa petite sœur - qui la dépasse en lui donnant un coup de coude, bientôt poursuivit par Alvar - te tire en sourire et te dispense de répondre à l'australienne. « Il paraît que la belle-fille de Mr Windsor sera là, une meuf de la plèbe. Charlotte, Elliott, quelque chose comme ça. » te souffles Eris à l'oreille. Tu as un demi-sourire en passant les portes du manoir derrière Betty. « ça risque d'être moins ennuyeux que prévu alors. » susurres-tu à ta sœur, qui te répond par un sourire de chat.  « C'est à Maggie et Thomas que ça a dû faire plaisir. » ricane-t-elle en faisant allusion aux héritiers légitimes de la famille Windsor. Vous pénétrez dans l'immense salle de réception, Maggie & Betty sautent dans les bras l'une de l'autre avec des piaillements qui font grimacer Alvar et Juno. « Jure-moi que tu feras jamais ça. » glisse Alvar à Juno, laquelle s'empresse de pousser un hurlement ravi avant de se laisser pendre au cou de ton petit frère - dans une grotesque imitation de Betty et Maggie. « Oh mais lâche-moi Juno ! » Tu fronces les sourcils en avisant ton petit frère. Le message est sans équivoque, vas dire bonjour aux autres. Le gamin s’empresse de se décoller de sa meilleure amie pour s'exécuter - non sans la gratifier d'un coup de coude au passage. Vous finissez par prendre place à table après avoir échangés les poignées de mains de rigueur avec un intérêt surjoué de toute part. T'es placé entre Betty et Eris, en face de la belle-fille en question dont personne n'a cru bon de mentionner le prénom. La brune n'a pratiquement pas touché à son assiette, et elle n'a pas décroché un mot depuis que vous êtes arrivés. Tu ne peux pas t'empêcher de remarquer qu'elle a l'air de suffoquer dans sa robe, mais ce qui retient le plus ton attention, c'est les regards noirs qu'elles jettent au reste des Windsor, sa mère comprise. Tu portes ton verre à tes lèvres, souriant aux propos de ta sœur, que tu n'as pas écoutés, quand soudain, c'est la détonation. Un tiens-toi droite ! de trop prononcé par monsieur Windsor. La brune bondit hors de sa chaise, qui recule sous l'impulsion, et envoie voler son assiette au dessus de vous. La fine vaisselle se brise en un million d'éclats vous faisant tous sursauter. Ta mère foudroie littéralement la jeune-fille du regard, et toi, tu crois tout bonnement pas ce que tu vois. « Je me tiens assez droite pour vous monsieur Windsor ? » rugit-elle avant de tourner les talons pour sortir de la pièce. Un silence de mort s'abat sur l'assemblée, et plus personne ne bouge - exceptée la domestique qui s'affaire déjà à ramasser les morceaux d'assiette. Tu fermes la bouche en te rendant compte que tu l'as laissée ouverte. « Putain. » tu n'as pas détaché ton regard de la porte par laquelle elle a disparu, t'es tout simplement scotché. Tu interromps monsieur Windsor en plein milieu de ses excuses empressées et foireuses pour les mères Von Helvetti & Roseburry -  qui n'en reviennent pas de temps de grossièreté. « Excusez-moi monsieur, où se trouve les toilettes s'il vous plaît ? » tu n'entends pas sa réponse, déjà levé, tu ne tiens pas compte non plus des regards scrutateurs d'Eris et Betty ou ceux réprobateurs de Thomas et Maggie. « Merci Mr. Windsor. » tu ne tiens pas plus compte des gloussements d'Alvar et Juno, t'es déjà sorti.

* * *

Si ses yeux pouvaient poignarder, c'est clair qu'elle t'aurait tué sans hésitations alors que tu apparaît dans l'encadrement de la porte. Tu jettes un coup d’œil rapide au décors de sa chambre, sobre, comme si elle avait refusé de la personnaliser. Cela te confortes dans l'idée qu'elle ne se sent pas du tout à sa place chez les Windsor. T'as un demi-sourire, ça n'en sera que plus amusant. « Qu'est-ce que tu fais là toi ?! Éteins ça, putain ! » tu tapotes le joint que tu viens d'allumer du bout du doigt, faisant virevolter les cendres partout. Puis tu te rapproches d'elle pour souffler la fumée dans sa direction. « C'est une façon de traiter ses invités ? » susurres-tu avant de lui tendre le bédo. Comme elle ne bouge pas et continue de te toiser (un peu comme si tu avais contracté la peste récemment) t'en rajoutes une couche. « Papa Windsor va grogner ? » Si la demoiselle restait perplexe quand au comportement à adopter, ton attitude dédaigneuse et hautaine la décide brusquement. Elle tente brutalement de virer ta main provoquant tes rires. Tu esquives le coup en reportant le joint à tes lèvres. « Je m'appelle Matz. » « Je ne veux pas le savoir, get out ! » Le feu qu'elle a dans les yeux en te disant ça, et la colère que tu sens poindre entre chacun de ses mots t'amusent, te plaisent. Ton sourire s'élargit et tu hausses un sourcil en cendrant à nouveau dans l'air. « Ta sortie a fait grande impression en tout cas. » tu peines à conserver ton sérieux. « Je ne pense pas que ma mère avait ne serait-ce que notifié ta présence avant que.. » t'es interrompus par ton propre rire, la fumée s'échappe par volute de ton nez alors que tu peine à ajouter : « Tu sais, avant que tu leur balance ton assiette dans la gueule. » cette fois t'as un fou rire. « Mais ferme-là ! Tu veux qu'ils montent ? » elle finit par avancer vers toi pour te retirer le joint. « Au moins, il ne m'obligera plus à manger avec ses invités de marque. » dit-elle en crachant les derniers mots. Toi tu te frottes le menton, tu connais peut être pas son prénom mais une chose est sûre, tu la veux.

Stockholm (Suède)dix-neuf ans. Accoudé sur la rampe au bois délicat et luxueux, les doigts entre-croisés au dessus du vide, tu surplombes le salon surpeuplé de votre villa. D'ici tu peux tout voir, tes pupilles dilatées de cocaïne, se posent un instant sur le Dj qui mixe non loin de la piscine, avant de s'en détourner, ce n'est pas lui qui t'intéresse ; tu avises ton petit frère entouré de bimbo en bikini, plus mal à l'aise tu meurs. Tu échappes un ricanement en le voyant reculer farouchement lorsque l'une d'elles tentent de l'embrasser. Il a quatorze ans ce soir, il cesse d'être un enfant à tes yeux. T'as prévu de lui bourrer la gueule, et de le faire fumer sur tes joints, jusqu'à ce qu'il roule sous la table. Le plus drôle, c'est que tu sais qu'il refusera rien de ce que tu lui donneras. Parcequ'Alvar, est fier, Alvar est courageux et trop pressé de faire ses preuves. Trop pressé de bouffer le monde entier. Le sang chaud et les poings serrés. T'es fier de lui, malgré l'étrange pudeur dont il semble faire preuve avec la gente féminine, tu te dis que ça lui passera. Tu te redresses et traverses le patio pour atteindre l'escalier, que tu dévales. Tu repères le corps svelte de ta sœur dans la foule des danseurs, et tu la chatouille en passant pour qu'elle se tourne vers toi. A ta vue, elle abandonne son cavalier pour commencer à danser avec toi. « C'est ton idée ou c'est celle de J-E ? » susurre-t-elle prêt de ton visage avec un grand sourire de chat. Tu hausses un sourcil prenant l'air innocent. ça ne prend pas, Eris lève les yeux au ciel avant d'aviser votre petit frère toujours aux prises avec les sulfureuses -qui entreprennent maintenant de lui caresser le torse-. Ton sourire fait écho au sien et tu émet un sifflement rieur « Idée commune, mais c'est moi qui les ai choisie, ne sont-elles pas superbes ? » Eris éclate de rire avant de porter sa coupe de champagne à ses lèvres sans cesser de danser. « J'ai l'impression que tu parles de fleurs ! » « De très jolies fleurs alors. » « Tu es horrible. »  feint-elle de soupirer, mais y'a tellement de sourire dans sa voix et dans le fond de ses yeux, que tu es obligé d'éclater de rire. « Tu n'as encore rien vu. » ajoutes-tu tout sourire avant de te diriger vers  le canapé où se débat toujours Alvar. T'as croisé le regard de ton cousin J-E plus loin, et le sourire que tu lui as adressé était sans équivoque « maintenant. » Sans prévenir, vous foncez sur Alvar. L'adolescent écarquille les yeux et se met debout sur le canapé, prêt à en découdre. Mais vous ne lui en laissez pas l'option, vos mains s'emparent de lui et vous n'avez aucun mal à le soulever. Le suédois se débat de toutes ses forces. « PUTAIN ! mais mais mais ….. MAIS LÂCHEZ-MOI ! » ses cris se perdent dans la musique et vous vous rapprochez dangereusement de la piscine. Les regards des curieux se fixent sur vous tandis que vous jetez Alvar et son costume trois-pièce dans l'eau, la tête la première. Les rires fusent tout autour de vous. « JOYEUX ANNIVERSAIRE ALVAR ! » ta voix se mêle à celle de J-E comme Alvar sort la tête de l'eau en toussant. « BANDE D’ENFOIRÉS ! VENEZ LA SI VOUS L'OSEZ ! » hurle-t-il en claquant la surface de l'eau du plat de la main, s'éclaboussant du même coup.

New York (USA)vingt-deux ans.
Tu poursuis tes études d'économie à Columbia avec plus ou moins d'entrain, tout en t'essayant au mannequinat. Tu habites toujours avec ton cousin J-E. T'es tiré du sommeil par la sonnerie de ton téléphone une première fois, mais t'as pas un seul mouvement pour récupérer l'appareil tonitruant. La seconde fois à plus de succès et t'as un geste nerveux qui fait dégringoler l'iPhone de la table de nuit. Tu sursautes et te redresses sur un coude, complètement hagard. Tu décroches à la quatrième sonnerie après avoir viré les griffes de la fille couchée à côté de toi. « Matz..? » c'est ta sœur, tu fronces les sourcils, que peut-elle te vouloir à une heure si matinale ? Tu jettes un coup d'oeil à ton iPhone, il n'est même pas 14h. « Lui même, et que peut-il pour toi ce brave homme ? » elle ne rit pas. Elle bafouille, et ça ne lui ressemble pas. « Matz c'est important, il y a eu un accident.. ils sont morts... » tu passes une main dans tes cheveux, t'arrive pas à réfléchir, tu comprends rien. « Qu'est-ce que tu racontes Eris ? » c'est presque agressif, la façon dont tu prononces les mots. « Leur jet s'est crashé.. morfar och mormor dog. » elle y croit pas elle même en le disant, c'est inconcevable que vos grands parents aient disparu de cette façon. Tu serres les doigts autour de l'appareil comme pour l'écraser. « J'arrive. » « France, aéroport Charles de Gaule, la piste habituelle. » Tu jaillis hors des draps comme une tornade. « J-EEEEE. Lève-toi ! »

***

Le patriarche de la famille de Guérin et son épouse, respectivement grands parents maternel de Matz, et J-E ont péries dans un crash aérien. Laissant Matz et son cousin J-E une véritable fortune en héritage, ainsi que l'immense domaine viticole qu'ils possédaient dans le sud de la France. Matz fait ses premiers pas dans le monde en temps que rentier, et il laisse le soin à son cousin français de gérer le domaine de feux monsieur et madame de Guérin. Matz a terminé ses études à l'université de Columbia et obtenu son diplôme. Il est supposé seconder activement son père dans la gestion des différentes chaînes d’hôtel de luxe qu'il a implanté partout autour du monde ces dernières décennies. Mais Matz n'a pas le goût du travail, il préfère sortir et voyager. Il a récemment fait l'acquisition d'un Penthouse à Manhattan.


Dernière édition par Matz von Helvetti le Sam 14 Mai - 16:03, édité 3 fois
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité



Re: MATZ + on m'a dit qu'elle était morte dans une cabine de bronzage. || Sam 14 Mai - 14:10

Bienvenue parmi nous I love you
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité



Re: MATZ + on m'a dit qu'elle était morte dans une cabine de bronzage. || Sam 14 Mai - 14:20

Bienvenue et bonne continuation pour ta fiche MATZ + on m'a dit qu'elle était morte dans une cabine de bronzage. 3212130221
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité



Re: MATZ + on m'a dit qu'elle était morte dans une cabine de bronzage. || Sam 14 Mai - 14:37

Merci à vous deux MATZ + on m'a dit qu'elle était morte dans une cabine de bronzage. 3780000015
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité



Re: MATZ + on m'a dit qu'elle était morte dans une cabine de bronzage. || Sam 14 Mai - 14:51

bienvenu et bon choix d'avatar.
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité



Re: MATZ + on m'a dit qu'elle était morte dans une cabine de bronzage. || Sam 14 Mai - 14:57

pouaaaah le début de fiche, je suis fan ! MATZ + on m'a dit qu'elle était morte dans une cabine de bronzage. 3821402855 MATZ + on m'a dit qu'elle était morte dans une cabine de bronzage. 1724869523 je l'aime déjà ton Matz. MATZ + on m'a dit qu'elle était morte dans une cabine de bronzage. 520245979
Bienvenue ici, et bon courage pour la suite de ta fiche. MATZ + on m'a dit qu'elle était morte dans une cabine de bronzage. 3788768694
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité



Re: MATZ + on m'a dit qu'elle était morte dans une cabine de bronzage. || Sam 14 Mai - 15:08

Salut les belles MATZ + on m'a dit qu'elle était morte dans une cabine de bronzage. 3780000015 MATZ + on m'a dit qu'elle était morte dans une cabine de bronzage. 3780000015 merci Abby, je trouve aussi qu'il a du chien Jensen MATZ + on m'a dit qu'elle était morte dans une cabine de bronzage. 2603304734

merci Katsia, moi je suis fan du kit avatar + pseudo MATZ + on m'a dit qu'elle était morte dans une cabine de bronzage. 3780000015 on peut t'appeler Kat ? MATZ + on m'a dit qu'elle était morte dans une cabine de bronzage. 555002534
ET PUIS TU CITES DU LYKKE LI DANS TA SIGNATURE MATZ + on m'a dit qu'elle était morte dans une cabine de bronzage. 1724869523 MATZ + on m'a dit qu'elle était morte dans une cabine de bronzage. 1724869523
merci pour les compliments, en espérant que ma pourriture te plaira toujours autant MATZ + on m'a dit qu'elle était morte dans une cabine de bronzage. 4223457801
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité



Re: MATZ + on m'a dit qu'elle était morte dans une cabine de bronzage. || Sam 14 Mai - 15:30

Ahah, je te remercie. (aaa) yep, Kat'/Kaya ça me va parfaitement. (a) tant que tu restes correct ! MATZ + on m'a dit qu'elle était morte dans une cabine de bronzage. 3780000015
Yep, t'as vu ça ? réel coup de cœur pour Until we bleed et I follow Rivers. MATZ + on m'a dit qu'elle était morte dans une cabine de bronzage. 3821402855

entre pourriture on doit se serrer les coudes nop ? MATZ + on m'a dit qu'elle était morte dans une cabine de bronzage. 1121305182 réserve-moi un petit lien au passage, j'ai déjà une petite idée en tête. (a) MATZ + on m'a dit qu'elle était morte dans une cabine de bronzage. 3352858707
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité



Re: MATZ + on m'a dit qu'elle était morte dans une cabine de bronzage. || Sam 14 Mai - 16:02

Moi ? je suis toujours parfait voyons MATZ + on m'a dit qu'elle était morte dans une cabine de bronzage. 2556079606
Ouais ? alors comme ça t'es une pourriture ? MATZ + on m'a dit qu'elle était morte dans une cabine de bronzage. 4133257492 hésite pas à me mp, je termine ma fiche dans la journée MATZ + on m'a dit qu'elle était morte dans une cabine de bronzage. 3510607274
Revenir en haut Aller en bas


Re: MATZ + on m'a dit qu'elle était morte dans une cabine de bronzage. ||

Revenir en haut Aller en bas
 

MATZ + on m'a dit qu'elle était morte dans une cabine de bronzage.

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 2Aller à la page : 1, 2  Suivant

 Sujets similaires

-
» Petit homme dans un monde d'adultes.
» La chance c'est comme le coxis, je l'ai toujours dans l'cul (rik)
» • LEO VAN DER BILT > Quand l'arrogance entre dans la danse!
» Nahla ◣Il fut un temps où 69 n'était qu'un simple nombre et où l'on pouvait manger une banane sans arrière pensée.
» JOEY # j'suis née dans la mauvaise famille ...

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
APPLE PIE ™ :: Passer la douane :: Passeport :: Passeport erroné-